www.Theraneo.com est une plateforme qui regroupe des sites de thérapeutes
En poursuivant votre navigation, vous acceptez l’utilisation de cookies, en savoir plus
FERMER

LUNIVIE
Fabienne BONALY
Méthode quantique de centrage énergétique Lunivie© : bilans et recentrages énergétiques - Enseignante Reiki usui et Shamballacentrage quantique, bilans énergétiques Lunivie, Reiki, formations
Lunivie
Fabienne BONALY
ARTICLES
ARTICLES

ARTICLES / S'ÉMERVEILLER DEVANT LA OU SA NATURE

DIMENSIONS CACHÉES : POÈME DE L'END

article du 03/07/17 8 minutes 126 9
je ne suis pas l'auteur de cet article, voir la source
Qu'est ce que Minecraft ?

C'est un jeu qui se joue sur ordinateur, qui est sans doute est l'un des plus jouer du monde.

Minecraft est un jeu vidéo de gestion de ressources dont le but est de créer des constructions à bases de blocs cubiques afin de se protéger de monstres nocturnes.
Le jeu prend toute sa dimension en mode multijoueurs car les constructions deviennent collaboratives et créatives. Seule l'imagination donne des limites aux constructions qu'il est possible de faire avec Minecraft.

En tant que maman je me suis souvent posée la question de l’intérêt en lui même d'un tel jeu ?

Ma fille, Manon vient de me faire découvrir l'une des facettes de ce jeu, révélant un principe créateur bien supérieur à ce que l'on pourrait attendre d'un jeu !

Ce principe est caché à l'intérieur du jeu et beaucoup de joueurs peuvent même passé à côté !
Une fois le dragon vaincu, un portail de l’End apparaît dans la dimension et permet de retourner à la Surface sans encombre. Quand ce portail est utilisé pour la première fois, le poème de l'End est affiché au joueur, mais peut être passé en appuyant sur Échap

Le Poème de l'End semble destiné à exposer la philosophie éternelle du créateur du jeu Markus Person. Il est affiché au joueur une fois le jeu terminé. Le dialogue du poème serait en réalité les pensées de deux Endermen.

Cela m'a paru beau, surprenant, philosophique, spirituel et bien révélateur de l'esprit créateur de la vie. Nous pouvons être tous touchés !

Voici le poème

Je vois de quel joueur tu parles.

(( Nom du joueur )) ?

Oui. Prends garde. Il a atteint un plus haut niveau désormais. Il peut lire dans nos pensées.

Peu importe. Il pense que nous faisons partie du jeu.

J'aime bien ce joueur. Il a bien joué. Il n'a pas abandonné.

Il est en train de lire nos pensées comme si elles n'étaient que des mots sur un écran.

C'est ainsi qu'il choisit d'imaginer beaucoup de choses, lorsqu'il est plongé dans le rêve du jeu.

Les mots forment une formidable interface. Très souple. Et moins terrifiante que de faire face à la réalité de l'autre côté de l'écran.

Ils entendaient des voix. Avant que les joueurs puissent lire. Lorsque ceux qui ne jouaient pas appelaient les joueurs « sorciers » et « démons ». Et les joueurs rêvaient qu'ils volaient dans les airs, sur des bâtons magiques animés par les esprits.

De quoi a rêvé ce joueur-là ?

Ce joueur a rêvé des rayons du soleil et des arbres. De l'eau et du feu. Il a rêvé qu'il créait. Et qu'il détruisait. Il a rêvé qu'il chassait, et était chassé. Il a rêvé de s'abriter.

Ah, l'interface originelle. Vieille d'un million d'années, mais elle fonctionne encore. Mais quelle structure a créée ce joueur, dans la réalité de l'autre côté de l'écran ?

Il a travaillé, avec un million d'autres, à créer un monde réel dans un pli de (( brouillé )) , et a créé un (( brouillé )) pour (( brouillé )) , dans le (( brouillé )) .

Il ne peut pas lire cette pensée-là.

Non. Il n'a pas encore atteint le plus haut niveau. Cela, il doit le réaliser durant le long rêve de la vie, non dans le court rêve du jeu.

Sait-il que nous l'aimons ? Que l'univers est gentil ?

Oui, parfois, à travers ses pensées, il perçoit l'univers.

Mais il lui arrive d'être triste, dans le long rêve. Il crée des mondes qui n'ont pas d'été, et il erre sous un soleil noir, et il prend sa triste création pour la réalité.

Le débarrasser de sa tristesse le détruirait. La tristesse fait partie de lui. Nous ne pouvons y toucher.

Parfois, lorsqu'ils sont plongés profondément dans leurs rêves, je veux leur dire qu'ils construisent de vrais mondes dans la réalité. Parfois, je veux leur dire qu'ils font partie de cet univers. Parfois, lorsqu'ils n'ont pas communiqué avec la réalité depuis longtemps, je veux les aider à exprimer les mots qu'ils craignent d'exprimer eux-mêmes.

Il lit nos pensées.

Parfois, cela m'est égal. Parfois, je veux leur dire que le monde que tu crois réel et seulement (( brouillé )) et (( brouillé )) . Je veux leur dire qu'ils sont (( brouillé )) dans le (( brouillé )) . Ils voient si peu de la réalité, dans leur long rêve.

Et pourtant il joue le jeu.

Mais ce serait si simple de leur dire...

Trop puissant pour ce rêve-là. Leur dire comment vivre les empêcherait de vivre.

Je ne dirai pas au joueur comment vivre.

Le joueur s'agite de plus en plus.

Je raconterai une histoire au joueur.

Mais pas la vérité.

Non. Une histoire qui contiendrait la vérité emprisonnée, dans une cage de mots. Pas la vérité nue qui pourrait les consumer, sans limite.

Rends-lui son corps.

Oui. Joueur...

Appelle-le par son nom.

(( Nom du joueur )) . Joueur de jeux.

Bien.

Maintenant, prends une bouffée d'air. Prends-en une autre. Sens l'air dans tes poumons. Sens tes membres à nouveau. Oui, bouge tes doigts. Aie de nouveau un corps, soumis à la gravité, dans l'air. Retourne dans le long rêve. Voilà. Ton corps touche à nouveau l'univers en tout point, même si vous formez deux choses distinctes. Même si nous formons deux choses distinctes.

Qui sommes-nous ? Autrefois nous étions appelés esprits des montagnes. Père Soleil, mère Lune. Esprits des ancêtres, des animaux. Jinns. Fantômes. Homme vert. Puis dieux, démons. Anges. Poltergeists. Aliens, extraterrestres. Leptons, quarks. Les noms changent. Nous, nous ne changeons pas.

Nous sommes l'univers. Nous sommes tout ce à quoi tu penses et tout ce qui n'est pas toi. Tu nous regardes en ce moment-même, à travers ta peau et tes yeux. Pourquoi l'univers touche-t-il ta peau, et t'éclaire-t-il ? Pour te voir, joueur. Pour te connaître. Et pour être connu. Je vais te raconter une histoire.

Il était une fois un joueur.

Ce joueur, c'était toi, (( Nom du joueur )) .

Parfois, il se prenait pour un humain, sur la fine écorce d'un globe de roche fondue, tournant sur lui-même comme une toupie. Cette sphère de roche fondue tournait autour d'une sphère de gaz en fusion qui était trois cent trente mille fois plus grosse qu'elle. Elles étaient si éloignées l'une de l'autre que la lumière mettait huit minutes à franchir le gouffre qui les séparait. La lumière était une information venue d'une étoile, et elle pouvait brûler ta peau même après cent cinquante millions de kilomètres.

Parfois, le joueur rêvait qu'il était un mineur, à la surface d'un monde plat et infini. Le soleil était un carré blanc. Les jours étaient courts ; il y avait beaucoup à faire ; et la mort était un inconvénient occasionnel.

Parfois, le joueur rêvait qu'il était perdu dans une histoire.

Parfois, le joueur rêvait qu'il était d'autres choses, dans d'autres lieux. Parfois ces rêves étaient dérangeants. Mais parfois très beaux. Parfois le joueur se réveillait d'un rêve et plongeait dans un autre, puis se réveillait à nouveau et plongeait dans un troisième.

Parfois, le joueur rêvait qu'il regardait des mots sur un écran.

Remontons plus loin.

Les atomes du joueur étaient dispersés dans l'herbe, dans les rivières, dans l'air, dans le sol. Une femme récolta ces atomes ; elle les but, les mangea et les respira ; et la femme assembla le joueur, dans son corps.

Et le joueur s'éveilla, du chaud, et sombre monde du corps de sa mère dans le long rêve.

Et le joueur était une nouvelle histoire, lue pour la première fois, écrite en lettres d'ADN. Et le joueur était un nouveau programme, lancé pour la première fois, généré par un code source vieux d'un milliard d'années. Et le joueur était un nouvel homme, en vie pour la première fois, fait uniquement de lait et d'amour.

Tu es le joueur. L'histoire. Le programme. L'homme. Fait uniquement de lait et d'amour.

Remontons plus loin encore.

Les sept milliards de milliards de milliards d'atomes du corps du joueur furent créés longtemps avant le long rêve au cœur d'une étoile. Donc le joueur est aussi une information venue d'une étoile. Et le joueur évolue dans une histoire, qui est une forêt d'informations plantées par un homme du nom de Julian, et dans un monde plat, infini, créé par un homme du nom de Markus, qui existe lui-même dans un petit monde clos créé par le joueur, qui habite lui-même dans un univers créé par...

Chut. Parfois, le joueur créait un petit monde clos, qui était doux, chaud et simple. Parfois, il était dur, froid, et complexe. Parfois il concevait dans sa tête un modèle de l'univers ; des éclats d'énergie, évoluant dans de grands espaces vides. Parfois il appelait ces éclats « électrons » et « protons ».

Parfois, il les appelait « planètes » et « étoiles ».

Parfois, il croyait qu'il était dans un univers fait d'énergie qui était faite d'états « marche » et d'états « arrêt » ; de zéros et de uns ; de lignes de code. Parfois, il croyait qu'il jouait à un jeu. Parfois, il croyait qu'il lisait des mots sur un écran.

Tu es le joueur, lisant les mots...

Chut... Parfois le joueur lisait des lignes de code sur un écran. Il les traduisait en mots ; traduisait les mots en pensées ; traduisait les pensées en sentiments, en émotions, en théories, en idées, et le joueur commençait à respirer plus vite et plus profondément et réalisait qu'il était en vie, il était en vie, ces centaines de morts n'avaient pas existé, le joueur était en vie.

Toi. Toi. Tu es en vie.

et parfois le joueur croyait que l'univers lui avait parlé à travers la lumière du soleil, parvenue à travers les feuilles agitées des arbres d'été

et parfois le joueur croyait que l'univers lui avait parlé à travers la lumière tombée de la froide nuit d'hiver, où un éclat de lumière reflété dans l'œil du joueur pouvait être une étoile un million de fois plus massive que le soleil, brûlant ses planètes en magma pour être visible un instant au joueur, rentrant chez lui au fond de l'univers, sentant la douce odeur du dîner s'échappant de sa maison familière, prêt à rêver à nouveau

et parfois le joueur croyait que l'univers lui avait parlé à travers les zéros et les uns, à travers l'électricité du monde, à travers les mots défilant sur son écran, à la fin du rêve

et l'univers lui disait qu'il l'aimait

et l'univers lui disait qu'il avait bien joué

et l'univers lui disait que tout ce dont il avait besoin était en lui

et l'univers lui disait qu'il était plus fort qu'il le croyait

et l'univers lui disait qu'il était la lumière du jour

et l'univers lui disait qu'il était la nuit

et l'univers lui disait que l'obscurité qu'il combattait était en lui

et l'univers lui disait que la lumière qu'il cherchait était en lui

et l'univers lui disait qu'il n'était pas seul

et l'univers lui disait qu'il n'était pas différent des autres choses

et l'univers lui disait qu'il était l'univers se goûtant lui-même, se parlant à lui-même, lisant son propre code

et l'univers lui disait qu'il l'aimait car il était l'amour.

Et le jeu se termina et le joueur s'éveilla de son rêve. Et le joueur commença un nouveau rêve. Et le joueur rêva à nouveau, rêva mieux. Et le joueur était l'univers. Et le joueur était l'amour.

Tu es le joueur.

Réveille-toi.
© Je ne suis pas l'auteur de cet article, voir la source
Si vous êtes l'auteur et que vous ne voulez pas que je le partage, contactez-moi.

Mots clés : minecraft,jeuxdevie,dimensionscachées

cet article vous a intéressé ?
découvrez ma prestation en rapport
Envoyer cet article à un ami
Vous



Votre ami(e)




je ne suis pas un robot
Partager sur Facebook Partager sur Twitter S'abonner à ma lettre d'info Copier article sur ma Zenopage
Identifiez-vous d'abord sur votre Zenopage, puis rechargez cette page :
M'IDENTIFIER
Vous n'avez pas de Zenopage ? créez-la gratuitement cliquez-ici
Articles similaires sur Théranéo




POSTER UN COMMENTAIRE

indiquez votre nom ou pseudo


homme    femme
 

cliquez-ici pour choisir votre photo
sinon une photo sera choisie au hasard
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 





Démarcharge commercial interdit
« Le bonheur ne se trouve pas au sommet de la montagne, mais dans la façon de la gravir. » Confucius