Par ces mots commence, dans un petit village de Hongrie, une étonnante aventure spirituelle.
En 1943, au coeur de l'Europe déchirée, quatre jeunes gens - Hanna, Lili, Joseph et Gitta - décident d'installer à la campagne leur atelier de décoration.
Eloignés de toute pratique religieuse, mais en quête de vérité, ils souhaitent vivre une vie plus attentive à l'essentiel.
Dès lors, et durant dix-sept mois, des forces de Lumière - que les quatre amis appelleront aussi «Anges» ou «Maîtres intérieurs» - s'expriment de façon régulière par la bouche de Hanna :
«Attention, ce n'est plus moi qui parle !»
Ces entretiens brûlants s'achèvent tragiquement par la déportation et la mort de Joseph, Lili et Hanna, juifs tous trois ; Gitta, la seule survivante, entreprend de transcrire mot à mot les messages de l'Ange.
Les petits cahiers où elle a consigné le reportage de cette expérience spirituelle donneront naissance à ce document stupéfiant que sont les Dialogues avec l'ange, publiés pour la première fois en 1976, et traduits depuis dans une quinzaine de langues.
MON AVIS Livre coup de cœur : une référence en matière de spiritualité, une claque magistrale à l'ego. Il nous amène à réfléchir et à nous repositionner par rapport à notre vécu, à ce que nous vivons maintenant et à notre avenir.
Ce livre est un bon outil de développement personnel. Je le recommande !
D'autres personnes en parlent aussi :
Juliette Binoche, actrice
«Ce livre est mon "pain quotidien"»
«J'ai connu des moments franchement limites. A force de trop m'immerger dans mes rôles, je me suis noyée. Je continuais à vivre ce que le personnage subissait, par peur de le trahir, de ne pas le retrouver le lendemain. Dans ces moments-là, les Dialogues avec l'ange ont été des rampes d'escalier pour moi. Ils distillent des pensées fortes ("La création ne peut être qu'un jeu où l'on s'oublie"), permettent de poursuivre un but au-delà de soi. Sinon, faire ce métier signifierait s'autodévorer, se laisser mourir.»
Françoise Hardy, chanteuse
«Je suis la fidèle messagère de ce livre»
«J'ai découvert les Dialogues grâce à un ami, le compositeur Gabriel Yared, qui, connaissant mon intérêt pour la spiritualité, m'a offert son exemplaire dans les années 1970. J'y trouve de profonds sujets de méditation. Je n'ai jamais mis en doute le type de communication par les anges qui y est décrit. Je pense qu'il existe des êtres non incarnés qui arrivent à nous transmettre un message via un médium, telle l'expérience vécue par Gitta et ses amis. C'est dans les moments où je me sens très malheureuse ou angoissée que j'éprouve le plus le besoin de ce texte. Si je devais garder un précepte des Dialogues, ce serait: "Ne corrige pas le mauvais, mais augmente le bon. Il absorbera le mauvais autour de lui. Il y a du bon en chacun. Loue! Loue en chacun ce qui est louable. La vraie louange construit. Mais n'embellis jamais et ne mens pas, même avec de bonnes intentions." J'ai été si touchée par ce livre que j'en suis la fidèle messagère. Je l'ai offert à une vingtaine de personnes.»
Ludmila Mikaël, comédienne
«J'aime l'idée que chacun a une responsabilité dans l'évolution du monde»
«Je ne suis pas sûre que l'invisible n'existe pas... et les Dialogues répondent à quelques-unes de mes questions. "Augmente ce qui est bon" est la phrase qui m'a le plus marquée. Plutôt que de s'épuiser dans les conflits, il faut tenter de faire reculer les douleurs, les difficultés, en agissant individuellement, en tentant de se transformer soi-même. Cette idée que chacun de nous a une responsabilité dans l'évolution du monde me passionne et donne un sens à ma vie. Je crois à l'expérience sur le terrain, celle racontée dans les Dialogues comme celles que rapporte le bouddhisme. Et quand la vie me secoue dans tous les sens, j'aime penser, comme Gitta Mallasz et les autres, que j'ai un ange, une bonne étoile qui m'accompagne.»
"Rien n'est impossible, il n'y a pas d'impossible, l'impossible n''existe pas, tout est possible" de Gitta Mallasz.