Il y a bien sûr le ressenti. Certaines personnes peuvent les détecter de façon automatique et naturelle. Mais il faut toujours se méfier de son propre ressenti. Il ne suffit pas de dire à un néophyte que l’on ressent une CCT, mais il faut pouvoir le prouver. Tout d’abord, en dehors de quelques cas précis que nous allons lister, une CCT se trouve toujours sur un rayon Hartmann à l’exclusion de tout autre rayon tellurique. En suivant, dans une pièce, le rayon Hartmann avec des baguettes en « L » ou Radmasters, au contact soit d’une branche, soit d’un des cercles du centre, elles se mettent à tourner, qu’importe le sens de rotation. Il faut bien sûr n’utiliser qu’une des baguettes en « L », pour bien voir ce phénomène. En période montante la baguette va tourner vers la gauche (lévogyre) et en période descendante elle tournera donc vers la droite (dextrogyre).Plus simple encore : utiliser le bio tenseur à l’horizontale jusqu’au contact d’une éventuelle CCT. Autre moyen encore plus sûr : utiliser l’antenne LECHER position 8,5 ou 11,4. C’est le seul moyen de détecter une CCT au repos, même si elle n’est pas directement dans la pièce que l’on étudie. Le cœur d’une CCT, qui est toujours sur un rayon Hartmann, peut aller d’un diamètre de 50 cm à plusieurs mètres, et les bras peuvent aller jusqu’à 10 m de long. D’où la difficulté de la détecter sauf à balayer, avant toute chose, la surface à harmoniser. Dès que l’on se trouve avec une rotation du bio-tenseur en balayant la pièce, on sait que l’on se trouve sous l’effet d’une CCT qui se trouve soit dans la pièce soit à proximité plus ou moins éloignée. Deuxième recherche : si on a trouvé une CCT sur un Hartmann, il faut vérifier le diamètre du cœur, puis s’éloigner d’un mètre et tourner autour pour détecter s’il y a ou non des bras. Si on suit un bras, le bio-tenseur va tourner dans un sens, et au croisement du bras il s’arrète de tourner, pour tourner dans l’autre sens dès que l’on a passé le croisement (voir croquis) Il existe aussi des CCT moins fortes créées par les habitants du lieu sans le savoir, bien sûr. Et on rejoint là, en partie, le Feng Shui. Si vous placez une armoire en biais coupant un angle de la pièce, vous créez une CCT dont la force est directement proportionnelle à la taille du meuble en question : Grosse armoire ou simple commode. Par ce meuble on créer une énergie stagnante dans le coin. Vérifiez avec vos instruments, la présence de la CCT et son importance. Vous pourrez constater que cette CCT (ou assimilée) ne se trouve pas forcément sur un Hartmann, mais souvent simplement devant le meuble à plus ou moins 1 mètre. Autre façon de créer une CCT : fixer un tableau au mur à l’aide non pas d’un clou ou d’une vis, mais par un lien qui va donc positionner le tableau en biais par rapport au mur, comme on le voit en général dans les musées. Là encore on « fabrique » une CCT qui en fait n’est gênante que dans le cas où le tableau est suspendu au-dessus d’un fauteuil ou d’un canapé, ou pire, au-dessus du lit. À propos de musée observez la réaction de la foule des visiteurs en passant devant un grand tableau présentant un angle par rapport au mur: un groupe de gens ayant instinctivement une sensibilité beaucoup plus réceptive qu’une personne seule, le groupe se déplace en arc de cercle en passant devant le tableau, et ce indépendamment de la présence ou non de barrières.
Dernier cas que vous risquez fort de trouver en harmonisant des lieux de vie : la cage d’escalier en colimaçon. Au milieu de la cage, une CCT monte et descend le long des étages. À cet endroit elle ne serait pas nocive, si elle n’avait pas de bras qui vont se diriger vers l’appartement dont vous vous occupez.
Ouf, on a fini la détection de la CCT. Et maintenant que faire ?
© Christian VALENTIN
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