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ARTICLES / SUJETS BRÛLANTS POUR CONSCIENCE MATURE

INTERVIEW D'ANTON PARKS :D’OÙ VIENNENT LES ÂMES HUMAINES QUI SE SONT INCARNÉES ?

article de Fabienne BONALY du 11/09/15 7 minutes 1206 82

Anton Parks, auteur autodidacte de nationalité française, a écrit avec le «Secret des Etoiles Sombres» le premier tome d’une trilogie surprenante parce qu’ inclassable : récit épique, mythologique, saga mélangeant science-fiction et héroïc fantasy ou livre «historique» dans la mesure où il nous dévoile notre histoire la plus occulte et la plus mystérieuse ; que se passait-il sur terre avant la venue de l’homme ? Qu’est ce qui a précédé et provoqué l’avènement des civilisations humaines?

Que signifient en réalité les histoires quasi incompréhensibles et parfois contradictoires (un dieu ou plusieurs dieux) contenues dans la Bible et d’autres textes comme la Bible Slavonique, les manuscrits de la Mer Morte ou les évangiles de Nag Hammadi ?

Quelques auteurs comme René Boulay (Flying Serpents and Dragons, The Book Tree) ou Zecharia Sitchin (La 12ième planète, Louise Courteau Editrice) ont réussi à décrypter une petite partie des innombrables textes en écriture cunéiforme trouvés dans les ruines d’anciennes civilisations akkadiennes, sumériennes ou assyriennes et ont commencé à livrer à un grand public souvent incrédule des clés pour comprendre et visualiser ce passé lointain : il semble acquis que les «dieux» qui auraient jeté les bases de colonies civilisatrices sur terre, il y a de nombreux millénaires, étaient de type «reptilien».

Boulay passe en revue dans son ouvrage tous les textes, chroniques historiques et «mythes» qui relatent que les premiers êtres à avoir amené sur terre les bases de la vie intelligente et de la civilisation étaient des dragons : non pas des sortes de dinosaures et autres sauriens mais des entités de type humanoïdes recouvertes d’écailles, possédant deux jambes, deux bras et parfois des ailes. On retrouve ces descriptions dans les chroniques chinoises, sumériennes, indiennes (Mahabharata) ou égyptiennes mais également sur des bas reliefs des civilisations d’Amérique centrale et du Sud. Souvent, ces entités sont décrites comme étant bénéfiques (surtout en Chine).

Dans l’ancienne Sumer, il existe des « dieux » colonisateurs bienveillants et considérés comme protecteurs du genre humain comme Enki ou dictatoriaux et cruels comme Enlil. L’importance des dragons et autres reptiles s’est étendue jusqu’au Moyen-âge où les récits de chevaliers affrontant des dragons dans des grottes (surtout en Angleterre) ou de villageois bénéficiant des largesses et de la protection de cet être merveilleux (sud de la France) étaient considérés comme des histoires vraies.

Nombre d’archéologues et de spécialistes des textes sumériens sont restés pantois et perplexes face à la cohérence de la multitude de récits narrant la venue de ces dieux venus des tréfonds du cosmos dans leurs chariots de feu pour créer des colonies sur terre. Ils ont voulu y voir des métaphores et des paraboles symbolisant les luttes éternelles entre les pulsions destructrices et constructrices de l’homme face à la nature. D’autres comme Boulay et Sitchin ont décidé de ne pas interpréter ces textes mais de les prendre pour ce qu’ils sont : des narrations d’événements réels et fantastiques parce qu’incompréhensibles pour l’entendement de l’homme de cette époque face à la puissance d’un tel déploiement technologique.

Anton Parks poursuit les travaux de Sitchin et Boulay et les pousse bien plus loin. Il nous montre par exemple que cet arrière fond «reptilien» est encore plus vaste et plus prégnant puisque l’on trouve encore aujourd’hui dans de nombreuses ethnies de type animiste, surtout en Afrique (comme au Mali) de très claires allusions à la présence de ces êtres reptiliens. Sans vouloir dévoiler le contenu complet de cette trilogie dans l’interview, l’auteur, très proche des conceptions que les Gnostiques avaient du monde, nous explique comment et pourquoi des systèmes de pouvoirs et de croyance de type patriarcal et très hiérarchisés ont pris les rennes de notre civilisation. Et en fin de compte, les conflits meurtriers que nous avons toujours connus et qui semblent aller en s’intensifiant ainsi que l’avènement d’un Nouvel Ordre mondial (intronisé par le discours de George Bush «père» le 11 septembre 1991, soit 10 ans avant le 11 septembre) ne seraient que les conséquences de décisions prises il y a plusieurs milliers d’années.

Selon Parks, ces «dieux» reptiliens de l’antique Sumer ne seraient pas nos créateurs comme l’affirme Sitchin mais nos «re-créateurs». Ils ont fait main basse sur une partie la banque génétique du vivant, l’ont prise en otage pour la détourner et servir leurs propres ambitions : le pouvoir.

Comment Anton Parks a-t-il été mis en présence d'une telle qualité d'information si cohérente ? D’où lui vient cette vision si pénétrante de la langue sumérienne et des chroniques de cette ancienne civilisation, surgie de nulle part comme si elle avait fait un bond technologique inexplicable ?

Rien que cette partie de la question mériterait tout un livre. Anton se montre circonspect sur cet aspect du livre mais il n'en fait par ailleurs aucun mystère : depuis l'âge de 14 ans, il a été traversé par des visions de mondes, de galaxies, de civilisations et d'êtres étranges. Après avoir douté de son équilibre mental, il s’est ensuite demandé s’il ne s’agissait pas de visions d’un improbable avenir. Ce n'est que bien plus tard, après avoir compulsé les premiers ouvrages relatifs à la civilisation sumérienne, qu’Anton constatera que ce qu’il voyait était relié au «réel» et à l’histoire. Tout prenait corps et signification!

Incroyable? Peut-être. Mais pour ceux que cet aspect quasi initiatique et prophétique laisse indifférent, pour ceux qui refusent de croire l’étonnante aventure intérieure qui a mené Anton Parks à nous livrer ce récit dense et détaillé, Le Secret des Etoiles Sombres reste une saga au souffle épique qui ravira les amateurs de mystères.


Extrait de l' interview à Anton Parks


Karmaone : Dans le même ordre d’idée, d’où viennent les âmes humaines qui se sont incarnées sur terre à l’époque de la colonisation Anunnaki et pourquoi ces extraterrestres nous auraient-ils créés ?

Anton Parks : Uraš (la Terre) est un lieu de dualité où les notions du "bien" et du "mal" sont expérimentées avec véhémence. Il n'y a aucun jugement à porter à cela. Avant que les Gina'abul et Anunna ne prennent totalement la Terre en main, Uraš était un "zoo" où les Kadištu (planificateurs) avaient placé l'ensemble de leurs connaissances, ce qui explique qu'il s'y trouve une telle diversité. La fréquence du KI (3ème dimension) était beaucoup plus élevée avant toutes ces guerres reptiliennes.

Comme le dit si bien Marciniak, la Terre est une bibliothèque vivante. Notre système solaire est au carrefour de routes importantes qu'empruntent les planificateurs depuis la nuit des temps. Avec l'arrivée des Gina'abul, cet endroit est devenu une zone de libre arbitre.

Beaucoup considèrent que c'est une chance de pouvoir s'incarner sur Terre aujourd'hui parce que l'instruction y est intensive et tout à fait inhabituelle. Ce qui peut s'apprendre sur plusieurs millénaires terrestres ailleurs dans notre galaxie peut prendre deux ou trois vies ici, sur la Terre !

Or, la situation va changer et le règne des Gina'abul va s'achever prochainement… Ceci fait partie de l'ordre des choses et les âmes qui s'incarnent sur la Terre depuis plusieurs millénaires et qui n'ont pas fini leur enseignement le savent très bien. Ceci explique, je pense, le fait que de plus en plus d'âmes s'incarnent sur la Terre. Elles veulent profiter de cette situation jusqu'au bout !

Comme vous l'avez compris, les Gina'abul permettent par leurs actions passées et présentes (finement dissimulées) cet ordre des choses… Les Gina'abul ont tronqué le code génétique des êtres humains pour transformer ces derniers en Á-DAM (animaux) à leur service.

Cette situation est toujours d'actualité aujourd'hui, surtout lorsque l'on distingue avec détachement les comportements anormaux et souvent inhumains des dirigeants de ce monde au service des fossoyeurs galactiques que les Kadištu (planificateurs) nomment Gílimanna (Bestiaire Céleste).

Désolé de me répéter, mais les âmes qui s'incarnent sur Terre savent où elles mettent les pieds ! Le fait que la plupart des Gina'abul soient devenus des hors-la-loi galactiques et qu'ils soient en conflit avec la communauté planificatrice de notre univers n'est pas incompatible avec le travail karmique exécuté ici bas. Tout n'est qu'une histoire d'appréciation. L'âme qui aura éprouvé la négation sous toutes ses formes sur la Terre se fera "justice" elle-même lorsqu'elle se retrouvera là-haut. Elle finira par expérimenter l'allégation universelle en se mettant au service de son prochain et ensuite de la Source ("Dieu") dont elle est issue et vers laquelle elle reviendra de toutes les façons. Les chemins tortueux et détournés qu'elle empruntera pour atteindre ce but et qui cependant engendreront différentes formes de souffrance ne regardent qu'elle…

Source
© Fabienne BONALY
reproduction intégrale interdite, tout extrait doit citer mon site www.theraneo.com/bonaly

Mots clés : extraterrestre,textes;sumériens,

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