AUTRES ACTIONS DU SILICIUM FAISANT L'OBJET D'ETUDES POUSSEES
Les échanges membranaires
Le Silicium est un élément fondamental de la matière vivante, qui, nous l'avons vu est impliqué dans de nombreux métabolismes, dans le maintien de l'intégrité tissulaire (notamment au niveau des os, du tissu conjonctif, cardio-vasculaire, nerveux...), dans la régulation des mécanismes immunitaires, inflammatoires, et, enfin, semble-t-il dans les échanges membranaires. Chaque cellule est tributaire de sa présence, et celle-ci est semble-t-il essentielle dans le mécanisme des échanges membranaires.
Les mécanismes d'action sont complexes et mal connus, qui permettent à la cellule d'importer les matériaux nécessaires à la production d'énergie et des molécules complexes de structure et de fonction, ainsi que ceux de l'exportation des déchets et des éléments fabriqués par l'usine cellulaire. L'approche quantique est bien souvent la seule à pouvoir clairement expliquer cette complexité, mais elle est malheureusement bien souvent négligée par les chercheurs et systématiquement écartée par la grande majorité des chimistes et biochimistes.
Pourtant le Silicium intervient dans la régulation de ces échanges, vraisemblablement de multiples façons, électrolytique, ionique, enzymatique... nous verrons qu'il intervient également dans le processus complexe de la division cellulaire, phénomène qui a surtout été étudié sur les fibroblastes responsables de l'élaboration du tissu conjonctif.
Lorsque l'on sait que les métaux lourds et toxiques se fixent au cœur des cellules et bloquent les mécanismes d'échanges membranaires, on comprend aisément que le Silicium soit un élément incontournable des cures de détoxication et détoxination.
Par ailleurs, certains travaux récents, le désigne comme l'antidote naturel de l'aluminium. Plusieurs études épidémiologiques ayant démontré que ce dernier intervenait directement dans les maladies neurodégénératives (Alzheimer, Parkinson...).
D'autre part, le Silicium se concentre dans certaines structures intracellulaires somme le reticulum endoplasmique, où se produisent la désintoxication et l'inactivation des produits chimiques, des pesticides, des substances oncogènes ou toxiques.
La Bio électronique
L'eau est le milieu naturel de la vie organique, tout au moins sur terre, et elle est le siège de multiples et nombreuses réactions physico-chimiques décrites par Louis Claude Vincent. Equilibre acido-basique, oxydoréducteur, et balance entre conductivité et résistivité conditionnent la santé ou provoquent la maladie si les valeurs se décalent dans un sens ou dans l'autre.
En régulant l'équilibre ionique entre milieux extra et intra cellulaire, le Silicium intervient directement dans le maintien de ces fragiles équilibres primordiaux.
La Biodisponibilité
Elle dépend de la facilité des actifs à franchir la membrane cellulaire, et dépend directement de la concentration en Silicium. En effet, ce dernier présente une grande stabilité moléculaire, associée à une grande adaptabilité ionique, ce qui le rend extrêmement bio disponible. Il passe de ce fait, facilement, dans le milieu intra cellulaire, et régule le potentiel de membrane.
Cette action sur la perméabilité membranaire ne se limite pas au Silicium lui-même, mais concerne de facto tous les éléments auxquels il est associé. Un actif, qu'il soit végétal ou autre, n'agit que s'il est véhiculé ; il est...actif, c'est à dire à l'intérieur des cellules. Le rôle du Silicium est ici, une fois de plus, fondamental, car il permet aux principes efficients de franchir la membrane cellulaire et d'agir là où ; ils sont utiles, c'est ce que l'on appelle la biodisponibilité.
La Résonance vibratoire
Le Silicium semble agir comme un métronome sur lequel se règlent les rythmes de la vie. De ce fait, il est impliqué dans la majorité des mécanismes vitaux, qu'il s'agisse des fonctions digestives, immunitaires, cardio-vasculaires, respiratoires, du fonctionnement des mécanismes nerveux, de protection, d'élimination, de reproduction.
La structure cristalline du Silicium se caractérise par une activité piézo-électrique engendrant un phénomène de résonance vibratoire, et il semblerait que les structures et organites intra cellulaires aient besoin de régler leurs propres vibrations sur la fréquence induite par le Silicium, un peu comme tous les musiciens d'un orchestre symphonique règlent leur jeu individuel sur les indications du Chef d'Orchestre.
L'effet piézo-électrique, bien connu des horlogers, puisqu'il est à la base du principe de fonctionnement des montres à quartz, est caractéristique de la structure cristalline. Un cristal qui subit une déformation génère une différence de potentiel et une différence de potentiel génère une déformation. Ce phénomène se manifeste par l'établissement d'une fréquence immuable selon la nature du cristal.
Il semble que le Silicium - raison pour laquelle nous le comparons à un Chef d'Orchestre - entre en résonance avec les structures intra cellulaires comme les centrioles de l'appareil de Golgi ou de la mitochondrie, et ce, selon une fréquence immuable qui est peut-être celle de la vie saine. Quand le Silicium vient à manquer, l'orchestre symphonique n'a plus de baguette à suivre, chacun joue pour lui-même, c'est la cacophonie, la discordance, et les maladies s'installent.
Séquençage chromosomique
Chaque cellule contient dans son cytoplasme un noyau dans lequel ont été décrites des centrioles minuscules, espaces aqueux renfermant un microcristal de quartz (SiO2). Ce véritable microprocesseur biologique semble avoir pour fonction de "séquencer" les fragments d'ADN codant la synthèse protéique et sont donc indispensables à la fonction cellulaire spécifique (synthèse de protéines et de macromolécules données), ainsi qu'à la reproduction cellulaire.
Transmission de l'information
La théorie de la mémoire de l'eau, a permis d'établir qu'une certaine information circulait entre les molécules d'eau, molécules qui représentent plus des deux tiers du corps humain. Si l'on place une solution nutritive contenant des virus dans deux ballons de quartz et que l'on introduit dans l'un des ballons une solution d'huiles essentielles adaptées, le virus sera détruit et les constantes bioélectroniques - pH, rH2 et résistivité - seront rétablies. Les mêmes réactions se produiront dans le deuxième ballon, ce qui s'explique par le fait que le quartz (dioxyde de Silicium) laisse passer l'information sous forme de photons. Bien que sous forme organique (lié à des acides aminés), le Silicium conserve au sein d'un organisme vivant un certain nombre des caractéristiques inhérentes au quartz.
Nouvelles découvertes (concernant les antioxydants)
La recherche est relativement pauvre en travaux portant sur le Silicium en général et sur le Silicium Organique en particulier. Peut-être parce que celui-ci était autrefois difficile à doser et donc à étudier.
Quelques travaux récents ont tout de même permis d'établir qu'il était fortement impliqué dans les mécanismes de fonctionnement de la Vitamine C ou acide ascorbique, dont on connaît le puissant rôle antioxydant.
Le rôle anti-radicalaire du Silicium peut aussi s'expliquer par les associations qu'il réalise avec certains polyphénols comme les flavonoïdes, pour former des complexes redox peut-être semi-conducteurs.
Le Silicium serait alors un des principaux acteurs des mécanismes complexes d'équilibre acido-basique, oxydoréducteur et de résistivité-conductibilité décrits par la bio électronique de Vincent.
La stéréochimie (action enzymatique)
Là, également le Silicium intervient directement comme dans le cas de l'acide hyaluronique, soit indirectement par chélation des métaux toxiques qui se fixent sur les fonctions soufrées des protéines, comme certains enzymes par exemple. Ces protéines au fonctionnement perturbé par la présence d'atomes indésirables se voient donc restaurées dans leur structure spatiale, et donc dans leur fonction, par le Silicium dont on constate encore une fois qu'il est impliqué dans la quasi-totalité des métabolismes.
La Transmutation
Jusqu'à ce qu'Einstein ne démontre la possibilité physique de la transmutation des corps simples dont les deux principales applications "pratiques" sont la bombe atomique et le réacteur nucléaire, ce phénomène était réservé au domaine ésotérique de l'alchimie.
Or ce phénomène physique n'est pas uniquement du ressort des savants atomistes puisqu'il se produit naturellement et spontanément dans les organismes humains ou animaux ainsi que dans les œufs fécondés et les plantes. Selon la formule universellement connue E=MC2, il devrait se produire alors un dégagement massif d'énergie, mais cette formule s'applique aux phénomènes atomiques dit à "haute énergie" et non à ceux à "basse énergie" quasiment indétectable. Claude-Louis Kervran a développé une thérorie selon laquelle un organisme vivant est capable de réaliser "in vivo" la transmutation des corps simples, en "fusionnants" un atome donné à un atome d'Hydrogène (H), d'Oxygène (0) ou encore de Carbone (C). Ainsi Sodium Oxygène = Potassium, Potassium Hydrogène = Calcium, Sodium Hydrogène = Magnésium, Magnésium Oxygène = Calcium, Silicium Carbone = Calcium.
Selon cette théorie, en cas de carence en un élément donné, il est préférable de supplémenter le sujet avec le précurseur plutôt qu'avec l'élément manquant, l'organisme, véritable athanor alchimique, fera le reste.
Pour en revenir aux œufs fécondés, on a pu démontrer que la quantité de Calcium entre le moment de la ponte et celui de l'éclosion était multiplié par 5, vraisemblablement par la transmutation du Potassium présent en abondance dans le jaune au moment de la ponte.
Un autre exemple de cet étrange et inexpliqué phénomène nous est fourni par les peuples du désert, qui, bien que présentant des quantités normales de Potassium, dans le sang, les urines et la sueur, n'en absorbent pas par l'alimentation. Ce potassium provient dans ce cas du Sodium consommé en abondance et transmuté "in vivo". On ne sait presque rien de cette transmutation biologique, si ce n'est qu'elle est probablement régulée par le Silicium.
La cicatrisation, stratégie globale de reconstruction tissulaire.
Quel que soit le siège de la lésion, la cicatrisation revêt l'aspect d'un ensemble de mécanismes complexes, qui se complètent et s'interpénètrent dans une logique de stratégie globale et surtout cohérente et harmonieuse. Parmi tous ces mécanismes nous trouvons différents processus directement placés sous la dépendance du Silicium.
- Communication accrue entre les cellules et les différents facteurs impliqués, afin d'assurer la cohérence de la cicatrisation.
- Prolifération cellulaire par différenciation des cellules souches et mitose.
- Optimisation du métabolisme (régulation enzymatique et optimisation des échanges membranaires, accroissement de la synthèse protéiques).
- Action sur le tissu conjonctif et osseux (stimulation de la synthèse du collagène et optimisation du métabolisme phosphocalcique.
- Stimulation de l'angiogenèse.
- Gestion des mécanismes d'oxydation.
- Implication des mécanismes immunitaires.
Nous avons longuement développé les rôles, actions et mécanismes d'action du Silicium dans le cas général, nous nous contenterons de faire un bref rappel explicitant son impact dans les mécanismes de la réparation du tissu parodontal.
Transmission de l'information
La réparation de tissus lésés, quels qu'ils soient, fait appel à plusieurs mécanismes distincts qui nécessitent un développement cohérent, impliquant des communications complexes entre les cellules de nature et de fonctions très diverses (conjonctives, épithéliales, mésenchymateuses, cellules souches et pro génitrices, ainsi qu'une communication étroite entre les facteurs physico-chimiques de la reconstruction tissulaire (hormones, neurotransmetteurs, enzymes, oligo-éléments, facteurs de croissance...).
Nous avons déjà vu que le Silicium jouait un rôle essentiel dans la transmission de l'information, d'une part du fait de ses capacités caractéristiques des structures cristallines à induire une vibration régulière et un phénomène de résonance, d'autre part en véhiculant un message par l'intermédiaire des molécules d'eau, ainsi que l'on démontré les travaux et recherches menés pendant près de trente années par le Dr. Jacques Benveniste.
Cette information est fondamentale, notamment au moment des phases initiales de la cicatrisation, au début des migrations cellulaires, les kératinocytes ayant leur origine dans l'épithélium gingival et les fibroblastes étant d'origine soit osseuse soit dermodontale.
Les récentes découvertes sont là pour nous permettre d'attribuer la responsabilité de la transmission de cette information au Silicium, dont on sait par ailleurs qu'il agit en synergie avec le Zinc (Zn) et le Cuivre (Cu) dans les processus de réparation tissulaire.
Prolifération cellulaire par différenciation des cellules souches et mitoses
Nous avons vu que chaque cellule contient au niveau du noyau une centriole renfermant un "microprocesseur" SiO2 responsable du séquençage chromosomique codant tous les mécanismes de synthèse protéique, responsables de l'induction des mécanismes de différenciation des cellules souches et de la division cellulaire. Lors des mécanismes de réparation, synthèse protéique, différenciation et mitose connaissent une augmentation importante, indispensable à la reconstruction et au remplacement des tissus détruits. Là, également, la carence en Silicium serait préjudiciable à une fonction équilibrée et efficace.
Action sur les tissus conjonctif et osseux
Le Silicium agit de façon préférentielle sur la synthèse du collagène et sur l'équilibre du métabolisme phosphocalcique, ainsi que sur l'élaboration de la matière extracellulaire. Cette action concerne bien entendu la restructuration du tissu osseux (synthèse du collagène et calcification secondaire).
Stimulation de l'angiogenèse
Le Silicium est un facteur important dans l'élaboration de nouveaux vaisseaux sanguins, parties intégrantes des tissus néoformés et indispensables à une bonne vascularisation nécessaire à l'apport en nutriments et en éléments énergétiques, ainsi qu'à l'évacuation des déchets métaboliques (gaz carbonique, acide lactique, radicaux libres...).
Gestion des mécanismes d'oxydation
Le métabolisme cellulaire, principalement par les réactions d'oxydation, inhérentes à la combustion du glucose et à la production d'énergie sous forme ATP (Adénosine Triphosphate synthétisée au cours du cycle de Krebs, se produisant au cœur des mitochondries) libère d'importantes quantités de radicaux libres qui doivent être éliminés au fur et à mesure de leur libération, sous peine d'induire des lésions cellulaires synonymes de vieillissement accéléré, voire de cancérisation.
Cette production de radicaux libre s'accélère bien évidemment quand les nécessités de la réparation tissulaire s'accompagnent d'un accroissement du métabolisme. Parce que le Silicium est l'élément clef du fonctionnement des antioxydants, notamment parce qu'il intervient dans la synthèse du plus indispensable d'entre eux, le glutathion, mais aussi parce qu'il fonctionne en synergie avec tous les autres antioxydants (Vitamine C, Vitamine E, Bêta-carotène, Zinc, Cuivre, Sélénium...), il est d'une importance capitale de maintenir des taux élevés de cet élément majeur. Là aussi, c'est à tous les niveaux histologiques et à toutes les étapes de cicatrisation que la lutte anti-radicalaire doit être confortée par un apport en Silicium.
Implication dans les mécanismes immunitaires
Le Silicium est un élément clef dans la gestion des phénomènes inflammatoires comme nous l'avons vu précédemment et dans toutes les activations des cellules immunitaires, lymphocytes B et T, macrophages, NK cells (cellules tueuses naturelles) et des facteurs de l'immunité humorale (immunoglobulines, cytokines...
© Jean-Claude THIMOLÉON JOLY
reproduction intégrale interdite, tout extrait doit citer mon site www.theraneo.com/thimoleon
Mots clés : siliciumorganique,oligo-élément,silicium,silice
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