Diplômée d’une Ecole Supérieure de Commerce, j’ai travaillé 30 ans dans un grand groupe européen. J’y ai effectué plusieurs métiers, j’ai gravi les échelons. J’étais pleine d’énergie, j’avais envie de bien faire, j’étais impliquée. Au fur et à mesure de ma vie, confrontée aux difficultés professionnelles et personnelles, j’ai tenu bon, j’ai relevé les défis en m’oubliant totalement. Stress, insomnie, irritabilité ont pris de plus en plus de place. Mon optimisme et mon dynamisme se sont réduits comme peau de chagrin. Je me suis retrouvée exsangue, épuisée et déprimée. Petit à petit, sans que j’en sois vraiment consciente, cela a eu des conséquences sur mon comportement, totalement piloté par l’anxiété : d’ouverte, je suis devenue rigide, prenant tout à cœur, et j’ai craqué. Après quelques semaines d’arrêt, j’ai repris le travail sans avoir réellement résolu les problèmes, ni changé de fonctionnement.

Puis, en 2021, j’ai rencontré la kinésiologie. Dès la première séance j’ai été enthousiasmée par la technique, par la justesse des problématiques qui émergeaient, par le soulagement physique et émotionnel procurés par les séances. J’ai décidé de me former et j’ai suivi la formation à l’EKMA (Ecole de Kinésiologie et Méthodes Associées) durant 3 ans. Après plus de 700h de formation théorique et pratique j’ai été diplômée en mars 2024.

Ce que j’aime dans la kinésiologie, c’est avant tout l’efficacité de la technique et le mieux-être qu’elle permet : notre corps est incroyable, il garde tout en mémoire, comme dans un grenier, et exprime à sa façon par des maux, des douleurs, des comportements ce qui devient trop lourd à porter. Et lors des séances de kinésiologie, après le travail de « détective » pour contacter la source des maux, le corps accepte de relâcher les émotions bloquées.

Afin d’élargir mes compétences et mes connaissances, je continue de me former via des modules avancés de kinésiologie, ou en transgénérationnel.