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Jean-Claude THIMOLÉON JOLY EI
Bio-énergéticien-Géobiologue, Enseignant Reiki, Toucher Quantique et LaHoChi Phytothérapeute, Aromathérapeute, communication animale, formateur, conférencier
Elle s’énonce : « Tout est double, tout a deux faces, tout a deux pôles ». C’est la loi du Yin et du Yang des orientaux. Elle exprime également le tout en Tout. Entre ces deux pôles extrêmes se trouvent un point neutre, un point d’équilibre. Ainsi, l’intellect humain se situe entre un pôle positif le super-conscient, la spiritualisation, et un pôle négatif, le subconscient, la matérialisation, qui s’équilibre autour d’un point neutre « la conscience ». Voilà pourquoi la conscience n’est qu’une partie infime de notre intellect. Il en sera de même pour les couleurs, le noir et le blanc s’équilibre autour d’un point neutre le gris, pour les sentiments, l’amour et la haine s’équilibre autour d’un point neutre l’indifférence, pour les ressentis, l’euphorie et la douleur s’équilibre autour de l’être, etc… On peut rapprocher cette loi du 496ème aphorisme d’Epictète « Chaque chose a deux anses, l’une qui la rend très facile à porter, et l’autre très difficile. ». Pour certains, seul le pôle positif existe réellement, ce pôle constituant l’être, le négatif étant le néant. Ce raisonnement explique l’attitude singulière des guérisseurs mystiques de la secte américaine « Christian Science » qui nient le mal, et parviennent pourtant par cette attitude radicale à le renvoyer dans le néant. Le problème posé par cette attitude est qu’elle nie « de facto » toute possibilité d’évolution d’un pôle vers l’autre. Cette loi, présente en effet l’avantage de pouvoir changer le taux vibratoire du négatif vers le positif, sachant que le positif peut toujours agir sur le négatif. En poussant les choses à l’extrême, nous pouvons ainsi changer la haine en amour, le mal en bien, etc… Si le positif peut toujours agir sur son négatif, le négatif est, par son essence, sans action possible sur son positif, sauf par perversion volontaire, voulue, comme dans le cas de la magie noire. C’est cette loi qui donne à l’homme son Libre Arbitre Cette loi de polarité nous donne un premier aspect de ce que peut être le mal. En effet, on constate que l’application « stricto senso » de cette loi lui retire son « être » réel et le renvoie à une relativité issue du néant. Il devient un sous-produit de l’évolution. Il n’existe en fait que par l’insuffisance du bien.
La Loi de Rythme
Nous l’énoncerons : « Tout inspire et expire ; tout monte et descend ; tout s’équilibre par oscillations compensées. » C’est la loi du cyclique, la loi qui nous apprend ou nous rappelle que ce qui a été sera si nous ne faisons rien contre. Car la principale application de cette loi est la possibilité qui nous est offerte de nous soustraire au mouvement rétrograde, ou dégradant, par ce que l’on appelle la neutralisation, et qui consiste à se polariser spirituellement sur le point culminant du mouvement direct, en appliquant notre volonté et en refusant radicalement de se laisser entraîner vers le rétrograde. Vue sous cet angle, elle peut sembler n’être que l’énoncé d’un simple développement de la maîtrise de soi. En l’appliquant non plus individuellement mais en groupe nous pouvons par le biais de la loi de vibration obtenir des résultats surprenants. C’est d’ailleurs dans un certain sens, la philosophie du New Age. Elle nous aide à comprendre, qu’au-delà des analyses scientifiques catastrophes, nous sommes simplement engagés dans le mouvement rétrograde de la vie de notre planète, mais ce mouvement il nous appartient de le freiner, voire de l’inverser. Au-delà, elle nous aide à comprendre la naissance, la vie, le déclin et la mort des grandes civilisations qui ont suivi les rythmes de la planète qui se répartissent comme suit : une ère zodiacale, ou petite année cosmique dure un peu moins de 2167 ans, une grande année cosmique dure 12 petites années, soit douze tours du zodiaque, soit environ 26000 ans, et enfin un cycle évolutif dure 12 grandes années cosmiques soit 312000 ans. Chaque période se divise à nouveau en trois qui correspondent semble-t-il à des passages évolutifs particuliers. Le quatrième cycle évolutif s’est terminé à la fin de l’ère du Bélier, soit environ 200 ans avant J.-C. lequel est apparu comme le maître incarné de l’ère du Poisson. Actuellement, nous vivons les premières années de l’ère du Verseau et nous entamons donc le troisième millénaire du cinquième cycle évolutif. D’après la loi de rythme nous sommes donc en phase ascendante, ce qui explique les variations vibratoires auxquelles nous sommes soumis. Ces vibrations nous tirent vers le haut et c’est à l’humanité de refuser les variations vers le bas qui lui seront imposées. En effet cette montée vibratoire équivaut à la spiritualisation. Notre tâche est de préparer le maximum de monde à cette ascension, le but étant comme à chaque cycle d’effectuer un tri sélectif pour permettre à l’humanité de progresser, de comprendre par la répétition les erreurs du passé pour ne pas les refaire. Au-delà de cette application universelle cette loi nous garantit la possibilité que chaque individu possède en lui de ne pas répéter les erreurs de cette incarnation mais également celles des incarnations précédentes. Là encore le principe de réincarnation se justifie, les vieilles âmes ayant évoluées plus loin sur le chemin ont comme devoir de guider le reste de l’humanité sur la voie de la lumière.
La Loi de Cause à Effet
Elle complète en quelque sorte la précédente et la renforce. Elle s’énoncera : « Toute cause a un effet ; tout effet a une cause ». Nous sommes là, pour beaucoup d’entre nous, en terrain de connaissance, puisque nous venons d’énoncer la loi du Karma des Hindous. Mais cette loi n’entraîne pas systématiquement, comme nous le croyons bien souvent une punition, mais une sanction. En effet, une cause bonne sera sanctionnée par un effet positif et inversement. Elle rappelle également que tout se répète jusqu’à l’intégration de la compréhension profonde, car rien n’échappe à la loi, et le hasard n’est qu’une dénomination de la loi lorsqu’elle nous échappe ou plutôt échappe à notre compréhension. Cette loi se traduit par un processus invariable de reproduction, d’enchaînements identiques des mêmes phénomènes dans les mêmes conditions. Elle est, normalement la base de l’expérimentation, donc de la Science. Elle revêt une importance toute particulière dans le monde des thérapies. La médecine symptomatique ne se soucie que trop rarement de la cause liée à l’effet constaté. En refusant la recherche systématique de la cause elle devient empirique et par définition non scientifique. Par contre, il convient de se souvenir que des causes différentes peuvent avoir des effets identiques ou parallèles. Il ne faut donc pas conclure que parce que l’on a une fois identifié la cause d’un effet, ce sera à nouveau elle qui sera impliquée la prochaine fois. Nous devons procéder par recherche statistique pour gagner du temps, le temps étant un facteur primordial lorsque quelqu’un souffre, mais nous devons nous efforcer d’identifier la cause juste. La systématisation qui consiste à dire à tel effet correspond telle cause est une source d’erreurs et malheureusement très souvent d’erreurs graves. L’humilité est de mise face à la multiplicité des problèmes que l’homme rencontre, fabrique et subit.
Elle s’énonce : « Tout est double, tout a deux faces, tout a deux pôles ».
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