Les mains vont à la découverte de la vie,
Immobiles et lourdes pendant le sommeil
Elles se déploient un peu engourdies,
Et palpent l'instant du premier réveil.
Leur tendresse parait immense
Voguant au gré du corps par un geste d'amour
Mais lors d'une infinie absence
Elles se sentent désarmées à toujours.
Elles caressent les fleurs du bonheur
Laissant sur la peau quelques traces
Se joignant parfois vers le seigneur
Afin que les douleurs s'effacent.
© Patricia WAGNER
reproduction intégrale interdite, tout extrait doit citer mon site www.theraneo.com/wagner
Mots clés : mains,main
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