La notion de bonheur n'est pas, une disposition intellectuelle ou mentale, elle est de l'ordre de l'individu, elle est ancrée et intimement liée à la vie, à l'existence même, mais surtout c'est une conquête de l'homme, ce n'est pas un deus ex machina qui tomberait du ciel, non le bonheur est une capacité inhérente à la conscience et par voie de conséquence à l'homme, mais cette capacité, l'homme doit la chercher, la trouver et la développer et personnellement :
« La quête du bonheur ne serait-elle pas tout simplement le but de la vie qui nous a été donné sans que nous le demandions et qui nous sera retiré dans les mêmes conditions ? » Nous souhaitons tous le bonheur et ne voulons pas souffrir, c'est le drame de la condition humaine.
La sagesse comme corollaire du bonheur, est un état qui fondamentalement repose sur l'équilibre entre le corps et l'esprit, et en sens la sophrologie peut y contribuer.
Le bonheur doit se conquérir et sa finalité ; de rendre acceptable ce passage sur cette terre que nous n'avons pas demandé et que la conscience dans sa phylétique sagesse ne manque pas chaque jour de nous le rappeler.
Si nous sommes nés de la conscience, nous savons aujourd'hui que nous pouvons l'utiliser à notre profit, à travers son courant, l'intentionnalité.
Les humains caressent le désir d'être heureux et de surmonter leurs souffrances, mais la plupart d'entre nous n'y arrivent pas et donc subissent, jusqu'à la fin de leurs jours.
Accéder au bonheur, est un acte volitif qui requière prioritairement la mise en suspension d'un état que nous pourrions qualifier d'ordinaire, voir pathologique, pour accéder grâce à la plasticité cérébrale à un autre état, un état extraordinaire, c'est dire conquis et non plus subi.
© Je ne suis pas l'auteur de cet article,
voir la sourceSi vous êtes l'auteur et que vous ne voulez pas que je le partage, contactez-moi.
Mots clés : bonheur,vie,sagesse
cet article vous a intéressé ? découvrez ma prestation en rapport | |
Autres articles de cette rubrique | voir tous