Saperlipopette, osons faire tomber les masques
et retrouvons notre souveraineté de co-créateur!Aujourd’hui ma petite voix me demande de réaliser une méditation-relaxation pour nous accompagner à avancer sur un chemin de transparence, d’authenticité et de vérité, et ce quitte à réveiller des réactions émotionnelles en nous ou autour de nous.
Oui, pour ceux et celles qui ont déjà tourné les nombreuses pages des méthodes de communication non violente, de bienveillance ou d’écoute active, lorsque nous ressentons une émotion, elle nous appartient, oui, tout à fait et parce qu’elle nous appartient, nous avons le pouvoir de nous en libérer seul.e. C’est une excellente nouvelle, nous n’avons pas besoin d’avoir le consentement ou la contribution d’une tierce personne pour nous libérer d’une émotion, même si elle serait la bienvenue pour nous aider sur cette voie de libération émotionnelle. Alors me direz-vous, l’autre n’a aucune responsabilité ? Si cette émotion est née de l’échange que j’ai eu avec lui ou elle, elle a bien une part de responsabilité, non ? Je ne demande absolument pas que vous adhériez à mes partages, je le dis à chaque fois et le répète encore et encore, ne soyez pas d’accord avec ce que j’écris ou dit, c’est parfait, cela prouve que vous vous écoutez et que vous cheminez en toute transparence avec vous-même ! Merci d’être qui vous êtes ! Donc je disais, pour ma part, je ne parlerai pas tout à fait de responsabilité... je précise: les autres nous renvoient des reflets ou parts de reflets de ce qui est ou peut être caché en nous. Dans un même échange, pourquoi je ressens une émotion et l’autre non ? Parce que nous sommes tous et toutes différentes, et qu’un mot ou un ensemble de mots ou une attitude sont venus toucher une partie de moi, qui a besoin d’exprimer son désaccord, et c’est surement une partie qui n’a pas été entendue dans le passé. Dans un échange nous avons bien sûr chacun.e la responsabilité d’établir un équilibre, une harmonie, une bienveillance, un respect mutuel, un temps d’écoute et de parole équitables, … seulement nous ne sommes pas coupables des émotions des autres. Ce n’est pas de notre faute, si l’autre ressent cette émotion et ce n’est pas de sa faute, si je ressens cette émotion. De mon point de vue, utiliser le mot « responsabilité » est largement préférable au mot culpabilité, seulement il laisse encore un pouvoir à l’autre, alors que je peux me libérer de cette émotion sans sa contribution. Par exemple il est possible que cette personne ne veuille pas ou ne soit pas prête à faire le pas d’une communication bienveillante. Attention, si nous sommes prêt.e.s et c’est ce que je souhaite pour le nouveau monde, qui est en train de naître, nous ne devons pas laisser l’autre dans son émotion et partir sans aucune prévenance, bien évidemment, cela va de soi. Nous pouvons pratiquer l’écoute profonde et la parole aimante (pratique d’une puissance illimitée provenant du village des pruniers) et si nous le faisons avec alignement et amour, nous apporterons guérison à l’autre et à soi-même. En effet, si ce que nous avons dit a résonné de cette manière chez l’autre, c’est qu’il y avait peut-être quelque chose en nous d’inconscient ou pas, que nous avions besoin également de réexaminer ou de « reseter » comme on dit dans le langage informatique. Nous pouvons aussi proposer à la personne de remettre l’échange à un autre moment, si nous-même nous sommes remués par des émotions… et il y a encore plein d’autres options possibles… pour désamorcer les réactions émotionnelles, bien évidemment.
Maintenant que se passe-t-il quand nos propres pensées réveillent des émotions en nous ? Nous n’allons pas en vouloir à nos pensées… ou aux personnes qui sont à l’origine de ces pensées… ça n’a aucun sens… nous perdons notre énergie et notre temps, or ce sont des valeurs précieuses de l’être humain : le TEMPS & l’ENERGIE. Selon moi en priorité focalisons plutôt notre énergie, sur comment apaiser ces émotions, les libérer et s’en détacher pour aller vers de nouveaux horizons. Puis ensuite, nous pourrons aller voir comment échanger, résoudre ou solutionner les réactions émotionnelles issues d’autres personnes ou d’événements. Parce que nous aurons retrouvé notre plein pouvoir et que nous ne serons plus sous l’emprise émotionnelle, nous serons plus à même de trouver des solutions inédites aux défis que nous lance la vie.
Nous commençons donc une méditation-relaxation de 10 mn pour apprendre à retrouver cet état que vous avez déjà tous et toutes connu à un moment de votre vie, un état de liberté profonde, de joie sans limite et de confiance sereine. Et, si vous ne vous rappelez pas avoir connu cet état récemment, je peux vous assurer, qu’enfant vous l’avez à un moment ou un autre connu et expérimenté, même si votre enfance n’a pas été facile.
Son de cloche
(méditation : écouter la méditation dans la partie vidéos)
Après le son de la cloche, offrez-vous un petit sourire sans attente, les coins des lèvres s’étirent juste un peu, pour nous rappeler que seule la prise de hauteur, seule la sérénité peut apporter une solution juste et respectueuse de la Vie que nous portons. Le sourire apporte cette sérénité et cette prise de hauteur, une journée sans rire est une journée perdue, dit une citation, je dirais une journée sans sourire, est une journée où nous perdons notre connexion à notre être intime, à notre Soi avec un grand s, pas celui qui réfléchit, mais celui qui ressent, qui sait, qui imagine, qui se relie, qui entre en symbiose avec la Nature… bref celui qui est éternel en nous.
Merci d’être qui vous êtes.
Avec Compassion, Foi, Gratitude, Joie & Reliance.
© Banu GOKOGLAN
reproduction intégrale interdite, tout extrait doit citer mon site www.theraneo.com/sev
Mots clés : confiance,méditation,oser,sophrologie,positif
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