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Laurence GLUZA EI
L'harmonie à l'intérieur : Géobiologie, Feng Shui Traditionnelgéobiologue, expert feng shui
Laurence GLUZA
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LE LIEN ENTRE L'HYGIÈNE DE VIE ET LA MALADIE

article du 16/02/20 8 minutes 925 4
je ne suis pas l'auteur de cet article, voir la source


Il y a plus de 2000 ans, Hippocrate disait :
« Si tu es malade,recherche d’abord ce que tu as fait pour le devenir. »


Tout pourrait être résumé à cette phrase d’Hippocrate qui pour moi est juste du simple bon sens que l’on a tendance à oublier ou par manque de connaissance. 
Le passage de la santé à la maladie n’est pas brutal.
Il existe un glissement progressif de l’une vers l’autre.
Pour repasser du côté de la bonne santé, le traitement médical va bien sûr pouvoir faire taire le symptôme à court terme, mais nous avons juste fait que refouler à l’intérieur de nous ce que le corps chercher à faire sortir.
Bien sûr pendant un moment nous nous sentons mieux, car nous avons éteint le symptôme ( le signal du corps).
Toutefois, le corps cherchait à évacuer ce qu’il considérait être mauvais pour lui, ainsi nous ne faisons que repousser à plus tard.
Alors est-ce qu’il faut rejeter la médecine moderne dans son ensemble ?
Bien sûr que Non, car elle peut être très utile dans les cas d’urgence !
Le problème vient plutôt du mode de pensée et de réflexion qui pousse beaucoup de médecins à bloquer les processus vitaux du corps humain en inhibant les symptômes à chaque crise.
Mais à moyen ou long terme : si le terrain reste déséquilibré ou trop acidifié par le trop-plein de déchets, la maladie (celle d’aujourd’hui ou une autre…) reviendra inéluctablement avec des symptômes plus ou moins fort, car n’oublions pas qu’il ne sont que des messages d’alerte du corps pour vous signaler un problème.
 

La notion essentielle du terrain

Pour définir cette notion du terrain le plus simplement possible, c’est votre corps dans sa globalité ( alimentation, environnement global, votre mental,la gestion émotionnelle,…) dans lequel vous cultiver soit la maladie ou la santé en fonction du mode de vie que vous avez choisi.
Maintenant, rentrons un peu plus dans les détails de cette notion si fondamentale à la compréhension du développement des diverses maladies.
Pour aborder celui-ci, il me paraît important de s’intéresser à un aspect de la génétique, notamment l’épigénétique.
L’épigénétique c’est quoi ?
Alors, si on devez résumer cela en une phrase simple ce serait :
«Épigénétique, vous êtes le résultat de vos habitudes»
Qu’est-ce qui fait que certaines personnes se mettent à améliorer leur santé et leur vitalité ?
Malgré des terrains héréditaires et donc génétiques plus fragiles et défavorables !
Il est certain que l’héritage génétique joue un rôle, mais au final la vraie différence entre les êtres humains est très influencée par notre mode de vie, ce que l’on mange, l’endroit où l’on grandit, vit et évolue, notre relation avec la nature et son contact avec elle.
Tous ces paramètres vont transformer notre génétique en épigénétique.
 

 
L’épigénétique va donc déterminer l’activation ou la désactivation de certains de nos gènes.
Nous sommes réellement ce que nous mangeons et l’environnement dans lequel nous évoluons c’est indéniable et pourtant pendant des années, la science nous a dit que la personne que nous sommes aujourd’hui est liée à notre héritage génétique uniquement. 
C’était la vision du monde jusqu’à aujourd’hui, car heureusement la science évolue et nous fait découvrir nos capacités sous un nouvel angle. 
Toutefois, si l’on veut des faits plus factuels de l’influence de l’épigénétique et de notre environnement global en voici quelques un : 
Tout d’abord, il faut bien être conscient que nos gènes n’ont pas changé en une ou deux générations ! 
Et pourtant on peut se rendre compte de ceci : 
Nous avons deux fois plus de risques de développer un cancer que n’en avaient nos grands-parents sans parler que nous sommes menacés par des tumeurs de plus en plus agressives et de plus en plus tôt. 
La fréquence du diabète dans le monde a été multipliée par 5 en une génération seulement. 
En France, les cas d’allergie ont doublé en seulement 10 ans. 
Le nombre de personnes atteintes par la maladie d’Azheimer double tous les 3 ans. 
On remarque le même phénomène pour l’arthrose, les maladies auto-immunes, fibromyalgie, syndrome de fatigue chronique, ect…
Je ne sais pas pour vous, mais moi ces chiffres me font vraiment froid dans le dos. 

Alors, au lieu d’être victime de la maladie, soyons plutôt acteurs de notre santé en prenant grand soin de notre mode de vie pour ainsi influencer positivement notre épigénétique.

Notre mode de vie comprend notamment :
Notre alimentation
La qualité de notre sommeil
Notre niveau d’exposition au stress
La pratique régulière d’une activité physique
L’exposition aux éléments de la nature ( vent, pluie, soleil ) de manière
raisonnable
L’environnement dans lequel on vit, notre lieu de vie, mais tout aussi
bien la maison ou l’appartement dans lequel on est au quotidien (la
manière dont on décore notre chez nous également)
Nos relations sociales
Notre perception de notre environnement, notre mode de pensée et
notre manière de voir la vie va aussi influer pour activer les bons gènes en nous
Nos lectures et nos loisirs (lire des livres inspirants n’active pas la
même chose dans notre quotidien)
 


Il y a aussi une question qui peut être assez intéressante à se poser à l’ intérieur de soi :
« Que va-t-on mettre en place pour que notre vie devienne une plateforme pour activer majoritairement les bons gènes ?

Cette notion de terrain et d’influence de notre environnement, de notre mode de vie qui influence notre génétique et notamment l’épigénétique sont vraiment très intéressantes ...
 

Les 4 stades d’évolution de la maladie

Comme je vous en parler parler en début d’article, il y a un glissement progressif vers la maladie et que cela n’arrive pas d’un seul coup brutal ( mis à part quelques exceptions assez rares). 
D’ailleurs, on en distingue 4 stades d’évolution en fonction de l’intoxication du corps et qui est reliée directement au terrain de la personne. 

1. Stades aigus

Ce sont des « crises de nettoyage » ponctuelles (rhume, grippe, bronchite…).
Le corps dispose d’une énergie nerveuse assez élevée, un faible niveau d’intoxication, il est donc capable de gérer cette crise en mobilisant les émonctoires intensément sur une courte durée (quelques jours) afin d’éliminer.
Si on utilise des antibiotiques, des médicaments pour la fièvre ou autre prescription trop régulièrement pour couper les symptômes, les déchets s’accumulent dans l’organisme et on passe au stade suraigu profond.
 
2. Stade suraigu profond

À ce stade le corps dispose d’une énergie nerveuse assez diminuée, un niveau d’intoxication qui augmente.
L’organisme commence à stocker les déchets et cela commence tout doucement à s’accumuler au niveau des organes.
Les organes réduisent leur activité et on voit apparaître des signes de fatigue, des symptômes psy, le diabète de type 2, des inflammations, de légers troubles des différents organes du corps ( foie, cœur, poumons…).
Bien souvent, on passe par la case médicament pour « soutenir » les organes.
Toutefois, si on ne fait que supprimer le symptôme ou dysfonctionnement par ce moyen sans faire en parallèle de travail sur le terrain pour s’occuper de la cause réelle.
On fini par passer au stade chronique.
 
3. Stade chronique

Ce sont les maladies qui reviennent régulièrement que l’on appelle aussi maladie chronique (bronchite chronique, diabète de type 1 et type 2 …) qui se sont installées bien confortablement avec le temps avec des symptômes plus ou moins importants par périodes (arthrose, eczéma, inflammation chronique …).
On peut y voir aussi des troubles du sommeil, dépression, le pancréas qui rame vraiment beaucoup, la toxicité intra cellulaires ( la toxicité atteint l’intérieur des cellules ), début de cancer et tumeur diverse.
L’énergie nerveuse étant dans les chaussettes pour ne pas dire épuisé, les émonctoires éprouvent de réelles difficultés à évacuer les déchets.
 
4. Stade dégénératif

Cela devient un stade assez critique où l’énergie est à zéro pour gérer la situation.
Les maladies dégénératives commencent a se construise un joli nid bien douillet dans l’organisme (cancer, sclérose en plaques, polyarthrite rhumatoïde, maladie auto-immune, leucémie, maladie neurodégénérative…).
Le système immunitaire commence sérieusement à dérailler est détruit toutes les cellules dues à l’hyper toxicité de l’organisme.
La maladie dégénérative n’est que la conséquence d’un corps très fatigué, dévitalisé, trop intoxiqué et vraiment très encombré de déchets.
Il manifeste un état de dysfonctionnement important qui n’est pas uniquement le résultat d’une mauvaise élimination, mais d’un organisme où l’énergie ne circule plus depuis fort bien longtemps.
Où les blocages physiques et émotionnels empêchent la bonne marche de la vie, où les organes d’élimination ne sont plus capables d’assurer leur rôle et cela par une importante congestion, résultat d’un mode de vie délétère, anti-physiologique, ne respectant pas les lois naturelles du vivant.
 
L’évolution de la maladie en conclusion 

L’évolution des maladies n’est possible que par une accumulation de plus en plus importante de déchets au sein de notre corps, de nos tissus, et de notre incapacité à les éliminer.
La maladie n’est qu’une volonté du corps qui cherche à se nettoyer au profit de notre santé, elle est le lien entre le corps et l’esprit et nous informe toujours de ce qui ne va pas !
Cependant ce processus naturel sera de plus en plus douloureux et handicapant au fur et à mesure que le corps sera surchargé.

Il est temps de reprendre en main notre santé et de comprendre qu’elle ne dépend pas de la chance ou de la malchance d’attraper telle ou telle « maladie » ou encore que c’est familial ou héréditaire.

Non non, car notre hygiène de vie dans sa globalité aura son mot à dire…
 


Pour en savoir plus :
Comment être en bonne santé ?
La relation entre chocs émotionnels et maladies
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Mots clés : maladie, malade, hygiènedevie, santé, bienêtre


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