Aujourd’hui le désir des futures mamans pour connaitre un accouchement dit « naturel » grandit, certains fervents défenseurs de l’accouchement libre opposent aussi que toute méthode est antinaturelle. C’est oublier que l’Humain n’est plus tellement naturel, qu’il s’est en quelque sorte « auto-domestiqué » et qu’il a exercé un contrôle culturel, sur la sexualité, sur la maternité mémorisant et transmettant ainsi tout une quantité de fausses croyances qui ont nui aux déroulements naturels et aisés des accouchements. C’est à mon sens évident que la pratique de la sophrologie pendant la grossesse va permettre à la mère d’entraîner sa capacité à être autonome dans la création de ses conditions de bien-être et de confiance en elle, indispensable durant la grossesse et son accouchement. Quant à l’HypnoNaissance par son approche pédagogique et active, visera à éliminer les croyances limitantes sur la naissance et à trouver des ressources en soi, à intégrer et automatiser avant l’accouchement des respirations facilitant le travail.
Cela étant dit ce paradoxe de « méthode d’accouchement naturel » est-il plus audible auprès des plus fervents défenseurs de l’accouchement libre ? Cet accouchement libre n’est-il pas lui aussi au final une forme de contrôle culturel sur l’enfantement, en réaction à ce qui préexiste et dysfontionne dans nos différentes cultures ?
Il s’agit bien pour moi, avec la plus grande autonomie donnée aux parents, de laisser évoluer un contrôle culturel dysfonctionnel vers un autre plus fonctionnel. La posture de relation «thérapeutique» de l’accompagnant est un équilibre entre donner de l’information et laisser naître chez la mère son propre désir, sa propre philosophie de l’enfantement.
Comprendre la fonction des états extatiques lors des accouchements et découvrir comment les pratiques psychocorporelles peuvent soutenir un enfantement juste et respectueux pour la mère, l’enfant et le père, sont deux approches que je tente de relier ici pour faire évoluer notre culture de la naissance. Pour rédiger cet article je me suis appuyé essentiellement sur le livre du Dr M. Odent, « Les autoroutes de la transcendance, fonctions des orgasmes » et sur ma propre pratique.
L’accouchement extatique peut s’atteindre lorsqu’il y a climax.Tout d’abord il y a deux notions de ce titre à définir. L’état extatique vient d’extase (ex = Hors de) et (stasis = Lieu où l’on se tient), c’est être transporté hors de soi. Dans le sens mystique, il signifie l’union à Dieu, il peut aussi signifier que quelqu’un est soustrait au monde sensible, ou encore qu’il est dans un état de jouissance extrême. Si l’on est réticent au terme de DIEU, on peut parler d’énergie originelle, de source, peu importe.
Le climax d’après son origine grec signifie échelle (1). En relation avec l’état extatique, il s’agit de s’intéresser au sommet de l’échelle, c’est-à-dire la fonction du climax dans le réflexe d’éjection du fœtus, les orgasmes masculin et féminin ainsi que le réflexe d’éjection du lait. Si le mot extase peut être relié à la conscience, le mot expulsion peut être associé à mettre hors de soi de la matière, du lait, des fluides sexuels, un bébé. La sophrologie met en évidence la notion importante de la globalité de l’être dans ses deux dimensions corps et esprit. Nous pouvons naturellement nous demander alors si un état d’extase ne facilite pas une expulsion et aussi un accouchement. Pour moi cela rappelle qu’avant de travailler toute visualisation d’accouchement comme pour certains accompagnements qui s’y limitent et en abusent, il est d’abord nécessaire de renforcer sa sensibilité corporelle, sa conscience de son schéma corporel. S’ancrer dans la matière, dans le corps, est à mon avis essentiel car c’est aussi lui qui va vivre cette expérience d’enfantement, cela contribuera aussi à faire accueillir sans jugement à la mère ce qui se donnera à vivre le jour J. Les relaxations dynamiques sont d’excellents moyens de renouer le contact avec son corps et ses sensations mais aussi avec sa forme et les phénomènes de pesanteur, tout cela dans la temporalité du moment présent. En somme, cela permet de se préparer en respectant l’axe de travail de la sophrologie qui est de ramener la conscience sur la nature d’entièreté de la personne, corps/esprit, dans le moment présent ; le vivant en train d’être. C’est cette qualité de présence qu’il est à mon avis bon de faire croître chez la future mère, chez le futur père.
Dans les années 70, Michel Odent, en permettant aux mères des accouchements dans l’eau, a pu observer la facilitation du travail jusqu’à un certain ralentissement du processus, mais peut-être n’était-ce que des pauses. L’eau ayant un effet érogène augmentant le taux d’ocytocine, je comprends donc qu’elle participe au climax. Plusieurs indices nous montrent l’interaction Peau/Eau/Climax. Michel Odent aime élargir ses recherches et son intérêt pour l’humanité remonte sur le chemin de notre évolution à l’époque où l’humain a trouvé sa verticalité. Ce changement a, pour lui, eu une influence évidente sur la manière dont les humains ont eu d’entretenir des rapports sexuelles en face à face qui ont pour conséquence d’augmenter la surface de contact de peau à peau des partenaires. Il pense aussi que l’humanité s’est développée à proximité des océans car il a entre autre une morphologie aqua dynamique (2), un nez facilitant la nage. Mais encore les nutriments nécessaires au développement du néocortex se trouvent dans les produits marins et les bébés naissent comme les mammifères marins avec du vernix casoae dont la qualité hydrofuge protège les bébés de l’eau de mer hypertonique. Il faut ajouter que les nourrissons ont un réflexe natatoire dès la naissance. La relation du corps humain à l’eau étant faite on comprend mieux l’influence que l’eau a sur notre sens du touché. Il est évident que dès notre origine, in utero, notre propre peau a été excitée en premier lieu par les mouvements du liquide amniotique, le contacte du fluide contre notre peau fait produire de l’ocytocine à l’enfant, ce qui le prépare à s’attacher, mais il contribue aussi à l’établissement de notre moi-peau cette dimension psychique de notre corps, c’est une réalité prénatale de notre existence qui perdure pendant toute la période d’attachement du bébé et plus encore.
D’autre part, j’ai pu assister à une conférence d’Elizabeth Davis, elle proposait de rapprocher des graphiques qui mesurent et donnent un profil de l’orgasme féminin avec ceux du processus de parturition. A une époque où les médecins pensaient que le processus d’accouchement était continu et linéaire nous voyons aujourd’hui qu’il répond en fait à des cycles travail/repos. Il n’est pas étonnant que ces graphiques puissent observer des profils comparable qui observent des plateaux et des pics. Peut-être faudrait-il individualiser l’estimation de la durée de l’accouchement à la manière dont la mère à d’atteindre l’orgasme ? Et le second orgasme peut-il correspondre à la nécessité de la reprise des contractions dans l’accouchement pour la délivrance du placenta ? Faut-il rappeler que pour atteindre l’orgasme il est nécessaire d’avoir de l’intimité et n’est-il pas de même pour atteindre ce climax et laisser les processus de naissance s’établir ?
Courbe avec un plateau avant l’atteinte d’un orgasme. Diagramme de l’accouchement HAS (3) . Accouchement «normal» et «délivrance naturelle». Nous pouvons alors considérer l’importance des relaxations dynamiques dans la préparation d’une future mère à l’accouchement, par les états de consciences modifiés qui permettent d’intégrer des phénomènes corporels dans la psyché. Par un entraînement régulier, ces pratiques pourraient produire une plus grande réactivité de la peau, de l’effet érogène de l’eau sur elle par exemple, ou alors l’efficacité des caresses d’un compagnon ou d’une doula soutenante. Ce qui a pour effet une augmentation de la production d’ocytocine nécessaire et autres hormones, qui participent à atteindre le climax propice à la naissance physiologique. Le compagnon peut alors proposer des effleurements de différentes parties du corps pour maintenir ou augmenter les sécrétions hormonales, garder la mère en haut de l’échelle du climax. On peut dire aussi que le bain ramène la mère au sentiment océanique, le temps se dilate faisant perdre à la mère toute notion de temps.
Les « contraintes culturelles » est le terme pour évoquer ce qui pèse sur l’environnement de la femme en travail et qui l’empêche d’atteindre le haut de l’échelle, le climax. Le Dr Grantly Dick Read a été l’un des premiers obstétricien à comprendre l’impact de l’émotion de peur dans le processus physiologique de l’enfantement. Il a découvert que l’émotion de peur active la production de catécholamines qui inhibent l’action de l’ocytocine. Cette hormone, hautement présente dans les états extatiques, permet lors de l’accouchement, des contractions utérines efficaces pour pousser puissamment le bébé depuis le fond de l’utérus. Par ailleurs, Michel Odent insiste sur le fait que l’on ne peut pas aider un processus physiologique et qu’il s’agit surtout de ne pas l’entraver. Il insiste aussi sur ce besoin d’intimité pour atteindre le climax, ce que ne permet plus nos contrôles culturels.
Le contrôle culturelTout d’abord le contrôle culturel a pour but de renforcer les liens entre les individus d’un groupe. Il est aussi une condition de la survie de l’espèce. Sur le plan psychologique nous connaissons l’impact hormonal du système dopaminergique lors de la phase de séduction, d’accouplement et d’allaitement qui permet de s’attacher à l’autre, de créer du lien. Cet attachement puissant empêche l’abandon des bébés et garantit la pérennité de l’espèce en plus d’influencer une paix sociale. Sachant que l’accouchement médicalisé a une influence sur la qualité de l’allaitement, du babyblues… nous pouvons alors considérer qu’il influence la qualité de l’attachement mais aussi des mœurs sociales. Heureusement l'humain à des capacités de résilience. Le bébé naissant «immature» a encore besoin de s’apparenter au groupe en apprenant sa langue et ses coutumes.
Cependant les contrôles culturels acquis depuis la nuit des temps ont par certains aspects été nécessaires et ont eu aussi des effets néfastes sur la condition de vie des individus et des groupes. Par exemple, le contrôle des états extatiques est un moyen utilisé par les « ordres » tribaux et religieux établis pour maintenir les femmes et les hommes sous leur domination, il a permis de tenir ces derniers éloignés des états transcendantaux quand leurs organes ont été mutilés. Les orgasmes qui sont naturellement accessibles à toutes et tous sont la première voie pour connaitre ce sentiment de dilatation du temps. Cette notion de durée de temps « Chronos » reste interdépendante de cette notion de qualité de temps « Kairos » qui nous donne le sentiment de vaincre la mort en ne vivant que l’instant présent. Dans l’instant présent, il n’y a plus de passé, ni de futur donc la mort est momentanément « vaincue ». L’humain transcende ainsi sa condition de mortel un cours instant lors des orgasmes, des transes chamaniques… Il peut alors trouver en lui une source de confiance qui peut le rendre plus indépendant… Les mutilations sur les organes sexuels font malheureusement encore partie des moyens de rétention des états transcendantaux en privant les individus de l’orgasme qui en est le premier moyen d’accès, ils ont aussi pour conséquences directe chez les femmes de compliquer significativement la durée et leurs expériences d’accouchements (4). Ces mutilations sont encore aujourd’hui des rituels de passages qui prouvent l’appartenance à un groupe (5). Ces contrôles culturels sont parmi d’autres le moyen de réguler les naissances et de dominer les femmes ou les hommes à diverses fins.
Enfin, le tabou du sexe dans les époques plus puritaines a donné le nom aux organes dit « les parties honteuses ». Tous ces conditionnements culturels font des humains des êtres dénaturés à l’instinct inhibé, l’intuition est reniée et laissée au règne animal, d’ailleurs certains obstétriciens plutôt interventionnistes affirment sans preuves que la femme n’a pas d’instinct pour accoucher. C’est surtout que nos contrôles culturels contemporains les en privent. Michel Odent observe tout autre chose et voit, à l’opposé, des enjeux de pérennité de l’espèce Humaine par l’intervention médicale, cette autre contrainte culturelle, qui prive une grande partie de l’humanité de connaître un processus physiologique d’accouchement rendant ainsi les hormones de l’amour obsolètes. A l’ère de nouvelles sciences et découvertes en épigénétique nous pouvons craindre que les prochaines générations manqueraient de produire suffisamment de ces hormones pour accoucher sans assistance médicale. Cela rendrait-il indubitablement l’espèce humaine dépendante de la technique ? Si oui, l’Histoire a bien des fois démontré que toutes les civilisations ont connu des déclins et un appauvrissement de leur technologie, c’est donc un pari périlleux à prendre pour sa pérennité que de rendre notre espèce dépendante de la technique pour sa reproduction. Michel Odent, loin d’être contre la technique, milite pour une meilleure compréhension des processus physiologiques de l’accouchement, favoriser et utiliser les techniques médicales seulement en cas de nécessité majeure. J’imagine Michel Odent comme le prisonnier de la caverne de Platon, il va explorer le monde pour explorer le phénomène de la parturition de manière plus objective, plus sensible et même plus scientifique. Il redescend dans la grotte avec un peu de lumière et nous nourrit peu à peu de sa conscience. Allons-nous l’écouter ? Cette référence à l’allégorie de la caverne n’est pas inutile à rappeler, c’est parce que cette métaphore fonde un principe fondamental de la sophrologie. Caycedo a effectivement élaboré cette discipline pour aider chaque individu à développer une perception la plus objective possible des phénomènes de sa propre vie. Un accompagnement en sophrologie pour la grossesse et l’accouchement permet à la mère de développer une conscience objective afin d’accueillir les évènements qui se produiront et qui échappent à son contrôle pour s’adapter à ce qui se présente et de ne pas culpabiliser si des évènements indésirables devaient avoir lieu.
Comment la sophrologie Existentielle peut-elle concilier l’accouchement physiologique et l’accompagnement médical ?La pratique de la sophrologie permet de plonger fréquemment dans des états de conscience modifiés, cette forme de lâcher prise qui nous permet de côtoyer cette dimension du moment présent. Cette présence à soi que peuvent atteindre les femmes en train d’accoucher peut se renforcer par un entraînement régulier. L'entraînement agit aussi sur la découverte du schéma corporel notamment le bassin, les parties génitales… toujours intégrés dans la globalité du corps. Il équilibre les hormones et le sommeil qui favorise un bon état de forme général. Et justement la production de mélatonine, par exemple, permet de réduire l’activation du néo cortex, elle favorise la production d’ocytocine contribuant ainsi au processus naturel d’enfantement (6). Il est bien pratique de décomposer le corps en différents systèmes pour l’aborder de manière simplifiée mais M. Odent préfère le ramener à sa complexité tant ces systèmes interagissent entre eux. Par exemple quand on parle d’hormones lui préfère que l’on parle de ligands ou substances informationnelles car ces dernières se comportent tantôt comme des hormones tantôt comme des neurotransmetteurs, libérées tantôt par des cellules nerveuses, immunitaires ou des glandes endocriniennes (7). La sophrologie existentielle ramène l’individu à sa globalité sans le dissocier en partie et cela semble pertinent de ramener les femmes à cette simplicité dans leur vécu de l’enfantement. L’entraînement sophrologique permet de vivre sa globalité, son unité le « système humain en son entier » cherchant toujours à retrouver l’homéostasie. L’entraînement permet donc de multiplier les sensations vécues, les émotions qui y correspondent et d’améliorer son sentiment de confiance en soi. La démystification de l’accouchement permet de donner confiance en la future maman pour se placer en tant que sujet face à un milieu médical habitué à recevoir des patients passifs dans leur parcours de santé. Les mères peuvent aussi faire abstraction du climat de stress qui peut parfois transparaitre de la maternité, du bloc obstétrique, organiser avec son compagnon un plan de naissance et collaborer avec l’équipe médicale plutôt que de répondre sans discussions aux injonctions protocolaires. Elles installent d’elles-mêmes une relation d’alliance respectueuse, de sujet à sujet avec leur entourage, en gardant le principe de réalité objective pour ne pas rester entêtées face à un dilemme entre une circonstance particulière et l’idéal espéré de leur accouchement. Cela peut aussi soulager le personnel médical de toute la responsabilité qu’on veut bien lui laissé porter, bien que cela puisse être déconcertant pour ce dernier que des futures mamans soient volontaires à assumer une part plus grande encore, voire totale, de leur enfantement.
Notre posture d’aidant s’équilibre dans l’accompagnement à la grossesse entre donner des techniques qui soulagent les inconforts de grossesse et d’accouchement, en sommes d’amener du confort dans l’inconfort, et donner des informations fiables sur lesquelles les futurs parents peuvent s’appuyer pour constituer un nouveau référentiel et dont ils se serviront pour vivre l’événement de l’enfantement comme ils l’entendent, dans le respect de leurs propres valeurs. Plus simplement dit, les accompagner depuis là où ils en sont sans faire et vouloir à leur place. Indirectement et face à l’augmentation de la demande de l’accouchement « naturel » et des revendications des mères et des pères à être acteurs et à être respectés dans leurs choix (8), nous participons aussi à une transformation culturelle de l’approche de l’enfantement, de la vie et de la place de l’enfant à naître.
Quel avenir pour les naissances et l’humanité ?Il reste encore beaucoup à faire pour que les relations « mère/médecins » évoluent sur le sujets de l’enfantement, mais bien que Michel Odent soit pessimiste face aux conséquences de l’accouchement sur-assisté, il est tout de même optimiste pour l’avenir en la capacité de retisser du lien entre les femmes et les soignants. Peut-être qu’avec le sens profond du mot religion « religare » qui signifie relier, ou faire s’entendre…Il illustre ces propos avec des naissances légendaires venant de tous les continents et c’est certainement la naissance de Jésus qui fait le plus écho en nous. Il est né d’une fécondation miraculeuse, Marie s’éloignant du contrôle social et donnant naissance parmi d’autres mammifères à Jésus, ce « personnage », homme, fils de Dieu marqué d’amour, comme bouddha et tant d’autres êtres remarquables venant d’une naissance simple (9). Est-ce le simple pouvoir de l’ocytocine ?
« Si il y a un avenir pour l’amour, il y a un avenir pour l’humanité. » Michel Odent (10)
Gabriel Voisin,
Sophrologue Existentiel, éducateur en HypnoNaissance .
Avec l'aimable relecture d'Elisabeth Durrieu formatrice en Sophrologie Existentielle
Notes :1 : Ch1 ; p13 Les autoroutes de la transcendance
2 : Ch 9 ; p 101 Les autoroutes de la transcendance voir aussi « Homo : La planète océan »
3 :
ÉVALUATION DES PRATIQUES PROFESSIONNELLES DANS LES ÉTABLISSEMENTS DE SANTÉ 4 : Ch 2 ; p 32/33 Les autoroutes de la transcendance
5 : Ch 5 ; p 60 Les autoroutes de la transcendance
6 : Ch 8 ; p 95 Les autoroutes de la transcendance
7 : Ch 4 ; p51 Les autoroutes de la transcendance
8 :
Actes sexistes durant le suivi gynécologique et obtétrical 9 : Ch 11 ; p115 à 117 Les autoroutes de la transcendance
10 : Ch 13 ; p135 Les autoroutes de la transcendance
© Gabriel VOISIN
reproduction intégrale interdite, tout extrait doit citer mon site www.theraneo.com/naitre-et-exister
Mots clés : grossesses, accouchements, sophrologie, cours, obstétriques
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