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L'HYPOTHYROÏDIE TOUCHE DE PLUS EN PLUS DE FEMMES...

article du 14/08/21 16 minutes 501 1
je ne suis pas l'auteur, article de Laurence Guillon, voir la source
Je vous partage quelques extraits de ce premier site :
naturopathie et hypothyroïdie :

"De quoi la tyroïde a-t-elle besoin pour fonctionner ?

Pour fonctionner, la thyroïde doit disposer d’un ensemble de cofacteurs, oligo-éléments, minéraux, vitamines et acides aminés. Un seul des cofacteurs manque et la désiodase ne se fait pas, entraînant des dysfonctionnements thyroïdiens.

Les différents co-facteurs

Les principaux

La L-Tyrosine, est produite naturellement par l’organisme à partir d’un acide aminé essentiel la phénylalanine. Celle-ci doit être obligatoirement apporté par l’alimentation car le corps ne sait pas le fabriquer. Pour convertir la phénylalanine en tyrosine, l’organisme a besoin de vitamine B et de fer.

L’iode est un oligoélément qui pénètre dans l’organisme par le biais de la respiration et par absorption digestive. En cas de carence légère l’organisme s’adapte. Si la carence est sévère ou prolongée cela entraine une stimulation de la TSH et une diminution de T4.

Le zinc, antioxydant très puissant, indispensable à l’organisme, intervient dans la conversion de T4 en T3 et accroit le fonctionnement de la thyroïde.

Le sélénium, antioxydant indispensable au fonctionnement de la thyroïde est un composant de la désiodase qui transforme les T4 en T3. Il faut toujours associer le sélénium et l’iode, une carence en sélénium pouvant empirer une carence en iode sur la fonction thyroïdienne.

La vitamine D, associée au cortisol permet la pénétration de la cellule par T3.

Le magnésium, intervient dans la conversion de T4 en T3. https://laurenceguillon-naturo.com/quid-du-magnesium/

Et puis

Le manganèse, qui intervient dans la synthèse des hormones thyroïdiennes. Le fer, impliqué dans la TPO lors de la conversion de T4 en T3. Une anémie signe souvent un problème de thyroïde. Le molybdène, qui joue un rôle dans la fabrication des hormones de la thyroïde. La vitamine A, utile à la synthèse et à la conversion de T4 en T3. La vitamine C, anti-oxydante et anti-inflammatoire, qui contribue à lutter contre le stress oxydatif. La vitamine E, également antioxydante, qui intervient dans la synthèse des hormones thyroïdiennes et la conversion de T4 en T3. Les vitamines B1, B2, B3, B6, B8, B12, qui sont indispensables à la synthèse des hormones thyroïdiennes. La B12 souvent déficitaire dans les pathologies thyroïdiennes contribue à la fixation du fer. Enfin, le cuivre, qui est nécessaire pour produire la TSH et la T4

Un seul des éléments vient à manquer et il y a risque d’hypothyroïdie.

Les différents rôles de la thyroïde

La thyroïde régule le niveau d’énergie dans le corps en fonction des besoins. Elle sécrète et libère dans le sang des hormones thyroïdiennes qui jouent un rôle essentiel sur l’ensemble des cellules de l’organisme. De ce fait le moindre dysfonctionnement de ces hormones entraine des répercussions sur l’état général. Les maladies de la thyroïde touchent surtout les femmes (7 femmes pour 1 homme). Cela est dû essentiellement aux interactions entre les hormones thyroïdiennes et ovariennes. (...)

(...)

Elles interviennent au sein de …
Métabolisme basal, besoins énergétiques dont l’organisme a besoin pour fournir de l’énergie et assurer ses nombreuses fonctions
Régulation thermique
Métabolisme des lipides, des glucides et des protides
Système digestif
Système immunitaire, des récepteurs aux hormones thyroïdiennes sont présents dans les lymphocytes et les tissus lymphoïdes, en cas de problème lié à la thyroïde, cela aura des répercussions sur le système immunitaire
Régulation du rythme cardiaque
Système nerveux central
Stimulation du renouvellement osseux et du système musculaire
Stimulation et régulation des autres glandes du système endocrinien…

En cas d’hypothyroïdie

Quand la concentration sanguine en T3 et T4 est inférieure à la normale et la TSH trop élevée on est en hypothyroïdie. Elle se manifeste par un ralentissement de tous les métabolismes avec des répercussions sur l’ensemble des fonctions de l’organisme.

Les principaux signes sont :
Épuisement, troubles du sommeil, état dépressif, mouvements lents
Chute des facultés intellectuelles, baisse de concentration et mémoire
Difficulté à gérer son poids malgré une prise alimentaire inchangée
Frilosité excessive, température corporelle basse
Douleurs de règles, perturbation du cycle, fausses couches
Ralentissements de la fonction intestinale, du cœur, hypotonie
Mauvais fonctionnement pancréatique
Peau sèche, cheveux secs et cassants
Œdèmes du visage
Crampes musculaires, douleurs ligamentaires
Canal carpien suite aux œdèmes des mains et des poignets
Système immunitaire affaibli, d’où infections récurrentes
Baisse de l’audition et de la vision
Migraines …

Les différents types d’hypothyroïdie
Lorsque l’origine de cette insuffisance se trouve au sein de la thyroïde elle-même, on parle d’hypothyroïdie primaire. Dans la majorité des cas il s’agit d’une pathologie auto-immune.

Quand l’origine se trouve dans l’hypophyse, faible production de TSH, déficience hypophysaire ou présence de lésions on parle d’hypothyroïdie secondaire.

Si l’origine se situe dans l’hypothalamus, lorsqu’il y a par exemple une insuffisance de production de TRH, on est en hypothyroïdie tertiaire.

Enfin, lorsque la thyroïde fonctionne normalement mais que les hormones thyroïdiennes ne remplissent pas leurs rôles, il s’agit alors d’une hypothyroïdie fonctionnelle.

Les hypothèses
Différentes hypothèses s’offrent alors. Soit la transformation de T4 en T3 ne se fait pas bien parce qu’il manque un cofacteur. Soit T4 est transformée en R-T3 inactive. Soit T3 ne parvient pas à pénétrer dans la cellule parce que les récepteurs aux hormones thyroïdiennes sont endommagés par une maladie auto-immune ou manquants, ou encore sont occupés par des substances toxiques.

L’hypothyroïdie peut avoir de nombreuses causes

Le stress chronique qui entraine une fatigue des surrénales est un facteur très impactant pour la thyroïde. En effet, les glandes surrénales sur-sollicitées par le stress chronique ne produisent plus assez de cortisol indispensable pour que T3 pénètre dans la cellule. Elles vont pour leur survie forcer l’organisme à se mettre au repos et donc en hypothyroïdie Le stress et ses répercussions sur l'organisme

Des carences en cofacteurs, vitamines et minéraux, oligo-éléments
La puberté, la grossesse et la ménopause, étant donné que ces trois périodes peuvent être perturbées par le jeu hormonal et ainsi fragiliser la thyroïde
Les métaux lourds freinent la transformation de T4 en T3, empêchent les hormones de se fixer sur les récepteurs des cellules et freinent l’assimilation de nombreux minéraux comme le zinc, le cuivre ou le magnésium
Les pesticides et les perturbateurs endocriniens pour les mêmes raisons
Les pollutions halogènes comme le brome, le fluor ou le chlore
Les pollutions électromagnétiques, les ondes dues aux téléphones portables, ou encore les pylônes à hautes tensions
Et encore …

Une intervention chirurgicale, un choc ou un traumatisme
Une dominance en œstrogène. En effet, la progestérone facilite l’action des hormones thyroïdiennes alors que les œstrogènes freinent leur action.
Un traitement de l’hyperthyroïdie par exemple avec de l’iode radioactif
La prise de certains médicaments comme les bêtabloquants, le lithium, les anti-inflammatoires
La prise de poids ou l’obésité. En effet, les perturbations occasionnées par les pics de glycémie entrainent de l’inflammation intestinale, qui peut aboutir à des perturbations hormonales, avec des répercussions sur la thyroïde
Le jeûne et la dénutrition qui favorisent la formation de rT3, inactive au dépend de la T3, active
Un état inflammatoire chronique, une inflammation de bas-grade
Les intolérances alimentaires (IgG) notamment le gluten
L’alcoolisme et le tabagisme qui multiplient par cinq le risque de souffrir d’un problème thyroïdien, en effet la fumée inhibe la fonction de l’iode
L’âge, de fait, l’activité de la thyroïde diminue vers l’âge de 45/50 ans
Certaines maladies affectent le fonctionnement de la thyroïde comme la mononucléose, l’hémochromatose, le diabète, la sarcoïdose ou encore l’insuffisance hépatique ou rénale (la transformation de T4 en T3 a lieu principalement dans le foie et les reins)
Une petite thyroïde de naissance ou une anomalie congénitale
La maladie d’Hashimoto

Les causes
Dans ce cas de figure, le système immunitaire produit des anticorps contre lui-même aboutissant à une destruction progressive de la thyroïde. La majorité des pathologies qui sont à l’origine de problèmes thyroïdiens sont d’origines auto-immunes. (...) Une pathologie auto-immune démarre dans un intestin poreux l'hyperméabilité intestinale

entrainant de l’inflammation à cause de nombreux éléments indésirables, malnutrition, médicaments, pilule contraceptive… qui traversent la paroi intestinale et se retrouvent dans le circuit sanguin. Ces éléments qui n’y ont pas leur place sont perçus par le système immunitaire comme des agresseurs. Le corps souhaitant lutter contre ces molécules inflammatoires réagit en attaquant ses propres tissus et peut se retourner ainsi contre la thyroïde.

Les solutions
La cause de cette inflammation est souvent un excès de cortisol dû à un excès de stress, un travail sur la gestion du stress sera donc . L’inflammation inhibe la conversion de T4 en T3. Il faudra donc systématiquement travailler sur l’hyperperméabilité intestinale lors de maladies auto-immunes comme Hashimoto d’autant que T4 et T3 ont une influence sur les jonctions serrées et protègent la muqueuse intestinale. Au niveau embryologique, la thyroïde a la même origine que l’estomac, le tube digestif et la langue. Il peut donc être logique en tout état de cause de travailler sur la fonction digestive pour améliorer les pathologies thyroïdiennes.

Le lien de la thyroïde avec notre psychisme

La communication
La glande thyroïde est située au niveau du larynx. Elle est reliée au chakra de la gorge et entraine ainsi une relation avec la communication verbale et la créativité. En énergétique ayurvédique, le chakra de la gorge est celui de l’expression de soi, de notre positionnement par rapport au monde extérieur et de notre créativité. En médecine chinoise la thyroïde est gouvernée par le rein qui est l’organe de la peur et de l’angoisse. Cette glande permet d’exprimer ses émotions, ses sentiments ou ses angoisses … de prendre sa place et d’être soi-même. Si tel n’est pas le cas, la communication sera compliquée et il n’y aura pas d’expression de soi, il sera intéressant de se demander « qu’est-ce que je n’arrive pas à avaler » ou « qu’est-ce que j’ai en travers de la gorge » ?

Le conflit avec le temps
En cas d’hypothyroïdie il y aura une sensation d’abandon, le sentiment d’être incompris et du défaitisme. Dans le cas de la thyroïdite d’Hashimoto qui est une maladie auto-immune la colère et la frustration sont retournées contre soi au lieu de s’en libérer. Les pathologies thyroïdiennes surviennent également lorsqu’il y a un conflit avec le temps. Ce sont les hormones thyroïdiennes qui sont chargées de régler la vitesse du fonctionnement de l’organisme. Lorsque l’organisme se sent dépassé avec une sensation d’impuissance et une impression que tout va trop vite, ce qui peut être une peur de la mort, il va alors ralentir la fonction thyroïdienne et on aboutira à une hypothyroïdie. La fatigue va alors apparaitre, la sensation de froid va s’installer et l’ensemble du métabolisme se met au ralenti. Une thyroïde en bonne santé permettra donc une expression de soi juste et conduira à être fidèle à son chemin intérieur.

C’est la glande de l’émotivité, voire de l’hyperémotivité, de la parole, de la féminité et de l’imagination. Les individus sont facilement sujets au stress, aux détails ou à la douleur. Ce sont des personnes souvent en demande affective qui seront sensibles aux arguments affectifs. Ils peuvent également être sujets à la dépression. Des moments de calme et de solitude seront essentiels pour se ressourcer.

Les réponses naturopathiques

L’alimentation
La thyroïde pour bien fonctionner nécessite de nombreux cofacteurs que notre alimentation devra nous apporter.

Les co-facteurs
Des protéines de bonne qualité, pour la fabrication de tyrosine, sont indispensables à la fabrication des hormones thyroïdiennes. La tyrosine est issue d’un autre acide aminé la Phénylalanine, dit essentiel car il n’est pas fabriqué par l’organisme. L’iode est également indispensable à la fabrication des hormones thyroïdiennes. Le fer, le zinc, le sélénium, le magnésium, le calcium, le manganèse, le molybdène, les vitamines A, B, D et E. Ne pas oublier que la vitamine D est synthétisée par la peau à partir du cholestérol sous l’action du soleil. Penser à s’exposer au soleil aux bonnes heures et à se complémenter en vitamine D3 pendant les mois d’hiver.

Les règles de base
Par ailleurs une alimentation la plus hypo-toxique possible est à recommander. On a vu précédemment que les toxiques, perturbateurs endocriniens et autres pesticides pouvaient être à l’origine des problèmes thyroïdiens.

Les aliments goitrigènes, comme les choux, les épinards, le maïs … qui peuvent être à l’origine d’un goitre, sont à limiter. Ceci dit l’effet goitrigène disparaît en partie à la cuisson et une quantité raisonnable peut être consommée d’autant que les choux contiennent des nutriments essentiels pour la santé.

Les produits laitiers et le gluten qui sont pro-inflammatoires et participent à l’irritation de l’intestin sont à réduire, ou à proscrire dans le cas de la thyroïdite d’Hashimoto étant donné que la cause de cette pathologie est inflammatoire.

L’acidité provoque de l’inflammation néfaste à l’organisme, à l’origine de maladies auto-immunes et d’oxydation comme nous l’avons vu ci-dessus. On adoptera de préférence une alimentation alcalinisante de façon à apporter les bons minéraux indispensables à la bonne marche nos glandes et on limitera les aliments acides et acidifiants.

Enfin, Pour que les hormones thyroïdiennes traversent les membranes cellulaires il est nécessaire de fournir de bons acides gras essentiels, type oméga 3.

Soutenir le système digestif

L’hyperperméabilité intestinale

En tout premier lieu, il est essentiel de prendre soin de ses intestins, d’une part parce que, plusieurs études montrent qu’une perméabilité intestinale est souvent à l’origine des maladies auto-immunes. D’autre part, pour que les nutriments essentiels au bon fonctionnement des glandes puissent être transportés jusqu’aux cellules. C’est l’intestin qui absorbe les nutriments dont ont besoin nos glandes pour bien fonctionner. Les principales causes de l’hyperperméabilité intestinale sont le stress et l’inflammation souvent due à une alimentation non adaptée. Adopter une alimentation anti-inflammatoire et réparer la barrière et la flore intestinale seront ainsi une priorité. On limitera ou on supprimera selon les cas les produits laitiers et les aliments contenant du gluten, très irritants pour la paroi intestinale. On réduira les sucres raffinés. Pour les personnes dont l’intestin est sensible aux glucides fermentescibles, on tentera de repérer parmi les FODMAP les aliments à supprimer. Les graines germées riches en vitamines et minéraux, facilitent la digestion et sont particulièrement conseillées.

Prendre le temps de mâcher et manger dans le calme participe aussi à une bonne digestion. Boire une eau de qualité, peu minéralisée, en dehors des repas sera une aide efficace pour un bon transit.

Les protocoles

Différents protocoles naturopathiques peuvent être mis en place, notamment la prise de glutamine, acide aminé qui joue un rôle essentiel dans la protection immunitaire et le maintien de l’intégrité de la paroi intestinale. Ou encore le curcuma et le réglisse, puissants anti-inflammatoires ainsi que la mélisse antispasmodique et antivirale digestive. On devra parallèlement soutenir la flore intestinale avec des probiotiques et des prébiotiques. On pourra inclure dans l’alimentation la consommation de légumes fermentés, choucroute, miso, boissons au kéfir, kombucha pour nourrir les bonnes bactéries.. Le pollen de ciste peut aussi avoir une action intéressante par son action probiotique. Celui-ci est riche en zinc et sélénium, cofacteurs essentiels au bon fonctionnement de la thyroïde. Une cure de jus d’herbe d’orge, riche en chlorophylle pourra contribuer à assainir la muqueuse intestinale.

Détoxifier et soutenir le foie

La conversion de T3 en T4 se fait dans le foie, l’hypothyroïdie est souvent associée à une défaillance du foie. Il est donc essentiel d’avoir un foie en bon état pour éviter tout un enchainement de dysfonctionnements et de répercussions négatives sur les glandes endocrines. (...) . On va également privilégier la consommation de légumes, radis noir, artichaut, endives, fenouil … En fonction de l’énergie vitale de la personne le naturopathe proposera une détox ou un soutien du foie.

Gérer son stress

Le stress chronique possède des effets délétères sur nos hormones. (...)

Les techniques de gestion du stress

Différentes techniques peuvent aider à diminuer ce stress et à apporter de la relaxation. Ces techniques seront choisies en fonction de notre attirance et de notre tempérament ainsi que du plaisir qu’elles nous procurent. Le yoga, la sophrologie, le Qi Gong, le tai chi ou encore la méditation sont des outils très intéressants si la pratique est régulière. (...) Des bains chauds ou des bains de pieds avec des huiles essentielles relaxantes, le hammam ou le sauna, la thalassothérapie, les enveloppements …

Les massages et la réflexologie, autres techniques naturopathiques apportent également beaucoup de bienfaits et aident à libérer les tensions. (...)

Et puis …

Avoir une attitude positive, rire, chanter, regarder un film comique, avoir une vie conviviale contribueront à diminuer les effets négatifs du stress.

Les huiles essentielles, les hydrolats, la phytothérapie dont les plantes adaptogènes, viendront compléter et renforcer ce qui aura été mis en place au niveau de l’alimentation et des changements du rythme de vie.

Le rythme de vie

Lorsque nous avons évoqué la typologie thyroïdienne, nous avons noté que le thyroïdien pour se ressourcer avait besoin de calme et de solitude, la thyroïde est la glande des émotions et les personnes qui ont des fragilités thyroïdiennes sont facilement sujettes au stress. On évitera par conséquent toute forme de stimulants comme la caféine par exemple et on préconisera des activités manuelles créatives qui ressourcent et apaisent.

Il est préconisé de pratiquer une activité physique modérée mais régulière de façon à respecter l’organisme et ne pas s’épuiser, type yoga, taï chi, marche, natation …

L’activité physique va favoriser un sommeil réparateur, améliorer la circulation sanguine, libérer des endorphines, diminuer les hormones du stress et réchauffer l’organisme, ce qui peut être très intéressant dans les formes hypothyroïdiennes. L’idéal est de pratiquer cette activité en plein air pour renforcer l’énergie vitale, une promenade en forêt, un bain de soleil, une marche pieds nus dans l’herbe ou un bain de mer permettent de capter l’énergie de la nature et de se revitaliser. La respiration aidera à capter cette énergie, elle peut être de type prana, ou autre technique qui stimulera le système parasympathique.

Supplémentation en vitamines, minéraux et phytothérapie

(...)

Les plantes adaptogènes aident l’organisme à gérer le stress comme l’éleutherocoque, le schisandra ou la rhodiole. Elles sont très intéressantes en cas de pathologies thyroïdiennes, et on peut renforcer leur action avec des plantes relaxantes comme la passiflore ou la valériane."

Fin des extraits

Je vous invite à aller sur le site de Laurence Guillon, ses articles sont d'une grande qualité.

Puis je vous partage ce deuxième site qui propose de rééquilibrer la thyroïde à partir de postures de yoga et donne également des informations concernant l'hypothyroïdie :
Klerviyoga

© Article de Laurence Guillon, voir la source
Si vous êtes l'auteur et que vous ne voulez pas que je le partage, contactez-moi.

Mots clés : santé, yoga, bienêtre, relaxation, sophrologie

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