www.Theraneo.com est une plateforme qui regroupe des sites de thérapeutes
En poursuivant votre navigation, vous acceptez l’utilisation de cookies, en savoir plus
FERMER

Pascale SÉGURA
Coach et facilitatrice en communication positive, formatrice, conférencière, auteur.coaching, émotions, stress, gestion des conflits, pleine conscience
Pascale SÉGURA
ARTICLES
ARTICLES

ARTICLES / SOURIRES DU MOMENT PRÉSENT

SOURIRE DU MOMENT PRÉSENT : COMMUNICATION NON VIOLENTE

article de Pascale SÉGURA du 22/05/20 4 minutes 142 0


Un sourire avec la thématique du visio-atelier et de l'article de la semaine sur ce thème.

J'entendais un jour un coach spécialiste de la relation à l'argent et ayant pratiqué la Communication Non Violente (CNV), dire que si on va vers ce genre de technique, c'est que l'on a de la violence en soi.
Qu'en pensez-vous ?

J'observe chez les personnes avec qui j'aborde ces questions de communication positive trois motivations principales :
- amélioration de leur prise de parole,
- améliorer leur positionnement dans les relations.
- et/ou être soi et bienveillant(e) dans la relation
Et pour vous, dans quels domaines travail, couple, famille rencontrez-vous ces difficultés de communication ? Comment se manifestent-elles ?

Par mon chemin et les accompagnements, je me suis rendue compte que reconnaître notre propre violence intérieure est souvent un processus, celui d'un chemin de vérité et d'honnêteté avec soi-même. Y compris quand on se dit pacifiste et/ou non violent.
En roulant nous allons parfois tuer des insectes, percutés des oiseaux, tués des mouches et/ou moustiques et/ou autres insectes, bêtes aussi pour notre confort.
Ne trouvez-vous pas important de se mettre d'accord avec cela.
Nous pouvons faire au mieux et reconnaître aussi des fois autant dans nos actes et/ou nos propos ,notre violence. C'est un chemin de lucidité et d'honnêteté que celui de la conscience.

La CNV dans mon expérience est bien au delà d'une technique, c'est un process d'évolution beaucoup plus global qu'une régulation de la violence.
Il s'agit vraiment d'un processus de connaissance de soi, de décodage du fonctionnement de sa vie émotionnelle, de sa manifestation dans le corps, dans l'énergie, de l'impact sur nos pensées et notre physiologie.
Si j'ai démarré il y a plus de 30 ans ce questionnement par le biais de la communication via l'écoute active et le travail de Jacques Salomé, la rencontre de la CNV l'a admirablement complété.

Apprendre à communiquer de façon bienveillante et constructive passe par apprendre à être connecté à ce qui se passe en soi (corps), à s'observer, à prendre du recul.
- Prendre la responsabilité de ce que je suis, fait, dit.
- Apprendre à passer du "tu"au "je" et tous les autres points évoqués dans mon dernier article :
B.a.b.a de la communication et poids du passé

Comment réguler notre communication si nous n'avons pas conscience de nos façons de réagir et communiquer.
Je perçois également dans les accompagnements combien il est parfois difficile de reconnaître pleinement cette forme de violence et/ou colère intérieure.
Nous repérons vite derrière le poids des interdits, conscients ou pas à ces formes d'émotions/réactions.
- On retient, nie, refoule, contrôle souvent ces formes de violences verbales et/ou physiques.
Pour autant quel soulagement dés lors que l'on cesse de lutter avec ce qui nous habite.
C'est là seulement que commence la possibilité d'évoluer.

La CNV est aussi à mon sens un chemin de connaissance de soi, bien au delà d'une simple technique de communication.
L'opportunité d'apprendre à communiquer depuis un espace intérieur suffisamment "détaché' du mode réactionnel automatique pour prendre de la hauteur, libérer les mémoires émotionnelles, énergétiques, corporelles, cérébrales associées et communiquer autrement.

La communication devient naturellement plus apaisée et bienveillante dés lors que cette ré-éducation à re-devenir " Maître" de soi plutôt que "piloté" automatiquement par nos réactions se fait. Cette transformation intérieure transforme, pas à pas, notre façon de communiquer et d'être en relations.
Pourquoi ? parce que nous avons appris à agir là où nous avons pouvoir et capacité à le faire c'est à dire nous même.

Un enseignant de pleine conscience québécois découvert il y a peu aime à dire :
"Mêlez-vous de vos affaires", celui de votre monde intérieur.
Cela concerne aussi bien sûr, jugements, comparaisons, etc.
C'est à mon sens vrai à tous les niveaux.

La connaissance permet de reprendre la barre du navire de sa vie, de quitter le mode pilote automatique. Puis par le jeu des libérations, nous commençons à manifester une autre réalité dans nos vies, relations et dans notre communication.
C'est un cadeau à se faire dont profite nos proches, collègues, client(s), etc.

Dans mon expérience et celles que j'observe, partage, disons que la CNV est un des supports de connaissance de soi, d'introspection, de possibles évolutions et transformations, un très bel outil.

Mais vous l'aurez compris à travers mes post, la base de ce que je vous propose reste la facilitation de ce travail d'ouverture de conscience sans lequel peu d'évolution durables sont possibles.

Merci et bravo à l'illustratrice ou l'illustrateur dont j'ai du mal à lire la signature.
© Pascale SÉGURA
reproduction intégrale interdite, tout extrait doit citer mon site www.theraneo.com/pascale-segura

Mots clés : cnv,communication,relations,pascale,ségura,uzès

Envoyer cet article à un ami
Vous



Votre ami(e)




je ne suis pas un robot
Partager sur Facebook Partager sur Twitter S'abonner à ma lettre d'info Copier article sur ma Zenopage
Identifiez-vous d'abord sur votre Zenopage, puis rechargez cette page :
M'IDENTIFIER
Vous n'avez pas de Zenopage ? créez-la gratuitement cliquez-ici
Articles similaires sur Théranéo




POSTER UN COMMENTAIRE

indiquez votre nom ou pseudo


homme    femme
 

cliquez-ici pour choisir votre photo
sinon une photo sera choisie au hasard
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 





Démarcharge commercial interdit
« On n’attend pas l’avenir comme on attend un train : on le fait. » Georges Bernanos